La violence chez les jeunes

ysique, psychique, sociale, culturelle, |

|une atteinte à sa sécurité ou à son sentiment de sécurité. |

L’incivilité :

La civilité constitue la dimension de base du rapport entre les personnes. L’incivilité indique alors une rupture avec les mécanismes et les codes basiques de communication au sein d’un groupe social.

L’agression :

L’agression vise à vérifier l’existence et la solidité qui séparent l’agresseur à l’autre qui est reconnu comme sujet, ce qui n’est plus le cas de l’acte violent dont la force du mouvement pulsionnel, illimité et non inhibé, transforme l’autre en objet à détruire et le nie en tant que sujet.

Dans nos différents documents, vous allez pouvoir observer plusieurs abords de la violence chez les jeunes notamment les facteurs (origines), la prévention, les troubles du comportement lors de la puberté, on verra aussi que la violence ne se limite pas au milieu familial.

- Plusieurs facteurs sont à l’origine de violences chez les jeunes : La cellule familiale est le premier cercle de construction d’un jeune, même si une carence familiale ne peut être tenu responsable à elle seule, elle amène fréquemment des problèmes de violences. La famille est le premier lieu d’éducation et de socialisation, c’est le premier cercle de structuration.

- La prévention : Même s’il est pratiquement impossible de prévenir la violence, il existe une forme de prévention « la prévention primaire », c'est-à-dire qu’il s’agit de travailler d’avantage sur une analyse qui se situe dans l’après-coup où l’on travaille à partir d’un retour sur les expériences. C’est justement le fruit de ce travail, ce retour sur l’expérience, qui permet d’anticiper la survenue de nouvelles « situations problèmes ».

- La puberté : Changement physique et développement hormonale. Le garçon acquiert de la force. La testostérone a des effets, elle intervient dans la virilisation (la voix devient plus grave, la poussée des poils est stimulée). La testostérone joue un rôle également dans le désir sexuel (la libido), de façon certaine chez l’homme, et plus ou moins chez la femme. Son rôle dans l’activité, voire l’agressivité est établi.

- Il y a différentes formes de violences : Si les garçons utilisent l’agression physique toujours plus que les filles, cette différence est très faible dans la petite enfance. Des filles plus manipulatrices. C’est lorsque l’on se rapproche de l’adolescence que les comportements se différencient : les garçons vont avoir tendance à utiliser la force physique, tandis que les filles vont utiliser des agressions indirectes (violences morales).

En conclusion on pourrait écrire ceci :

« J’étais enfant, j’étais petit, j’étais cruel. Tout homme sur la terre, où l’âme est asservie, peut commencer ainsi le récit de sa vit, on a le jeu, l’ivresse et l’aube dans les yeux. On a sa mère, on et des écoliers joyeux.de petit homme gais, respirant l’atmosphère  pleins poumons, aimés libres et contents ; que faire, Sinon de torturer quelque être malheureux ? »

Victor Hugo

« Le crapaud », La légende des siècles, 1878

Cette citation doit encore une fois nous permettre de relativiser l’idée que les jeunes d’aujourd’hui sont atteins d’une « maladie » qu’on appellerait Violence et que notre société est gangrénée par celle-ci, il n’en est rien.

Il ne s’agit pas de nier la réalité économique et sociale qui peut conduire une frange de notre population à un comportement plus agressif, voir violent.

Notre recherche documentaire nous a permis d’observer la question autrement que par l’œil de certain média et politique, qui entretienne un sentiment d’insécurité.

Ce travail nous a permis de faire le constat que la violence et naturelle voir vitale pour le psyché de l’Homme.

La conclusion serai que la violence est naturelle