PME allemandes

entreprises, à l'établissement d'un ensemble d'accords entre entreprises

Cependant il y a quelques entreprises qui ont plus de mal à avoir des performances élevées comme les PME françaises. En faite une majorité des PME françaises préfèrent se renforcer sur son territoire, en produisant des produits qui exportent que dans des pays voisins (culturellement similaires), elles sont limitées donc à trouver la croissance ailleurs de ses frontières. En France , seulement un 4% des PME exportent.

On pourrai dire que la majorité des PME français sont routinières et peu innovantes dans ses procèdes, dans sa stratégie commerciale. Les principales difficultés de ces PME ce sont leurs dépendance financière vis-à-vis du banquier et du client, leur dépendance technologique, l’absence du savoir faire technique, et surtout son incapacité de parler une autre langue que le français. La France contribue à l’internationalisation des échanges commerciaux, et a l’élaboration du capitalisme mondial. Mais la vocation de l’entreprise n’est pas d’être le vecteur des intérêts nationaux hors France.

Il est nécessaire de dire que la France ne dispose pas d’un tissus économique très bon , les aides de l’Etat pour les PME français reste bas , el la population française n’est pas si nombreuse comme dans des autres pays. Il ya environ 300.000 PME allemandes qui exportent contre seulement 85.000 en France.

Les économies d'échelle se réalisent de moins en moins dans le temps et de plus en plus dans l'espace, provoquant inévitablement la mondialisation géographique de la concurrence.

L’Allemagne a une volante déterminée à agir dans le bon sens et le bon ordre caractéristique de sa culture. Le capitalisme allemand s’est construit sur le ``Mitteslstand``, un réseau de PME locales, qui innovent, exportent, et embauchent. Ces PME profitent d’un soutien clair de l’État à travers des incitations fiscales à l’investissement, par des transports, des télécommunications, et de la formation. Une formation très bonne d’où on réussi à avoir une main d’œuvre abondante, qualifiée, et motivée.

Les entreprises allemandes considèrent que la croissance est ailleurs, et il faut aller la chercher là ou elle se trouve. Les entreprises allemandes ont une stratégie de croissance commerciale basée sur la territorialité, des alliances stratégiques, des associations, des acquisitions, des éventails d'innovations, des développements de projets conjoints, ou des investissements directs à l’étranger. Elles ont aussi développé une culture de l’export fondée sur la crédibilité du ``made in Germany’’, et sur la volante d’être les premiers sur les marches qui montent. Les entreprises allemandes exportent quelle que soit leur taille.

L’Allemagne, qui est très performante dans les exportations est aussi le deuxième importateur mondial. Les entreprises font ses achats aux quatre coins du monde conçu comme ``grand bazar``, ses entreprises font de la recherche et marketing de proximité pour trouver la meilleure réponse aux demandes différenciées de clients internationaux. Elles vont de plus en plus importer (l’Allemagne devient le 2ème importateur mondial), notamment des biens intermédiaires, pour pouvoir créer plus de valeur être plus compétitives sur les marches étrangers et limiter les délocalisations.

Ils délocalisent la ou la main d’œuvre est moins cher, toutes les opérations faites a l’étranger sont sous le contrôle des cadres allemands, pour ne pas perdre son know-how. L’industrie allemande est la plus rapide en Europe à remodeler l’allocation sectorielle en se désengageant