Qu'est-ce que la médecine préventive ?
TD : Qu'est-ce que la médecine préventive ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar fanny2003 • 29 Mai 2022 • TD • 1 882 Mots (8 Pages) • 1 236 Vues
Nom : KALB | N° de l’élève : 12047KF |
Prénom : Françoise | Référence du cours : KK14.1117 |
THEMES PSYCHOSOCIAUX
Sans vous appuyer sur le cours que vous venez d'étudier, répondez aux questions ci-après.
Qu'est-ce que la médecine préventive ?
Entre la pollution qui nous entoure, une alimentation dégradée dû aux productions intensives et aux pesticides, ou encore les mauvaises habitudes d’hygiène, les corps sont exposés à des toxines néfastes pour le bien-être d’autrui. Ceci entraine des blessures, des maux pouvant être symptomatiques entrainant ainsi des maladies plus ou moins graves.
A cause du rythme de vie, ces maux sont souvent ignorés, les gens se disent « que cela va passer », et ne changent rien à leur mode ou à leur hygiène de vie.
Prendre soin de soi et de son corps est important pour se sentir mieux.
Selon le Larousse, la médecine préventive est « la branche de la médecine ayant pour objet la prévention et le dépistage des maladies sur les plans individuels et collectifs. »
Plus globalement, la médecine préventive est une branche de la médecine qui se concentre sur l’hygiène de vie au sens large : de la propreté à la diététique en passant par l’activité sportive, la prévention des conduites à risque ainsi que le dépistage de maladies.
Du fait de leur proximité avec leurs patients, et leurs capacités à avoir un suivi régulier, les médecins généralistes ont cette mission de prévention.
En conclusion, la médecine préventive c’est prendre soin de soi aujourd’hui pour une bonne santé de demain. Un vieil adage résumerait par : « Mieux vaut prévenir que guérir. ».
Citez quelques mesures qui vont dans le sens de « l'humanisation de l'hôpital ».
Depuis les années 70, les réformes hospitalières ont mis l’accent sur « l’humanisation de l’hôpital » afin que le malade se sente chez lui tout en bénéficiant d’un maximum de sécurité pour les soins médicaux.
Lors de rénovation ou de nouvelles constructions, les dortoirs ont été remplacés par des chambres doubles ou particulières, équipées de salle d’eau avec sanitaires ainsi que d’un placard individuel.
Aujourd’hui, les chambres de pratiquement tous les services sont équipés de TV, de ligne téléphonique personnelle et voir même de Wi-Fi. Ma maman, ayant été aide-soignante, me racontait souvent combien elle avait mal au dos à soulever le malade pour lui faire la toilette. Aujourd’hui, les lits médicalisés améliorent grandement le travail des soignants et le confort des patients.
Les chambres sont aussi dotées de la distribution des gaz médicaux (oxygène, vide, air comprimé) et d’une signalétique hospitalière la plus récente.
Les heures de visite pour les familles et les proches ont été étendues. Pour les patients seuls ou isolés, des visiteurs bénévoles leur rendent visite pour leur apporter présence et réconfort, les distraire, les apaiser en cas de stress… Dans certains établissements, on voit même apparaitre la zoothérapie utilisant l’animal comme « médiateur au sein d’une relation triangulaire entre le patient, l’animal et le soignant ».
Autre amélioration non négligeable, certain CH propose des « menus à la carte » avec les conseils d’une diététicienne en fonction de la raison de l’hospitalisation. Et aujourd’hui, un service de « coiffeur » est proposé dans certains hôpitaux.
Les halls d’entrées des centres hospitaliers sont plus spacieux dans lesquels les malades et les visiteurs peuvent trouver en plus des bureaux des entrées, des services à rendre le séjour du malade plus agréable comme des boutiques de journaux et de fleurs, des cafétérias, des salles de télévision, parfois des bibliothèques et mêmes des espaces verts dans des patios.
Et pour le personnel hospitalier, maman a vu depuis les réformes, de fortes évolutions techniques améliorer son quotidien de soignante comme : l’apparition de réseau de tubes pneumatiques permettant la diffusion rapide de médicaments urgents, système ayant été abandonné depuis ; l’organisation du transport du linge sale et de déchets divers dans les couloirs utilisés par les patients et les visiteurs ; ascenseurs à accès directs aux services spécialisés, ou blocs opératoires.
Quelles sont les conditions pour que l'hospitalisation à domicile soit acceptée ?
Lorsqu'elle est possible, l'hospitalisation à domicile, aussi appelée HAD, présente des avantages psychosociologiques et économiques non négligeables. J’en ai fait l’expérience à 2 reprises, dans des circonstances tristes, pour la mise en place de soins palliatifs à domiciles pour mon parrain et pour ma tante.
Dans les 2 cas, le membre de ma famille était hospitalisé et le médecin avait estimé que les soins pouvaient être poursuivis à domicile. Après que la famille ait donné son accord, mon oncle et ma tante étant inconscients au moment de la prise de décision, une assistante sociale s’est rendue au domicile de mon parrain afin de vérifier que les conditions de domicile permettaient l’HAD. En revanche, pour ma tante, cela a été plus simple puisqu’elle était en EHPAD.
Dès que la Sécurité Sociale a accordé la prise en charge, l’HAD a pu être mise en place.
Qu’appelle-t-on l'hôpital de jour ? Pour quelles personnes est-il particulièrement recommandé ?
L’hôpital de jour est un service d’un hôpital général ou indépendant caractérisé par une admission, une prise en charge et une sortie dans la même journée. Ce type d'hospitalisation est réservé aux soins ne pouvant pas être effectués en consultation externe comme : les investigations pour le diagnostic d'une maladie, les bilans de surveillance des interventions et soins chirurgicaux, les soins médicaux, etc … Le patient, après avoir reçu les soins peut regagner son domicile, ce qui n’entraine aucun hébergement en hôpital.
Pas plus tard que la semaine dernière, ma maman, âgée de 81 ans, a bénéficié de l’HDJ pour une chirurgie ambulatoire. En plus d’être particulièrement recommandée pour les personnes âgées, l’HDJ l’est aussi pour les enfants atteints de troubles neuropsychiques et les personnes de tout âge ayant besoin d’un traitement de rééducation après un accident, un traumatisme, un handicap passagé ou une affection rhumatismale.
Quand les soins à domicile sont-ils recommandés ?
Le but des soins à domicile étant de permettre aux patients de garder leur confort rassurant de leur domicile et une qualité de vie optimale, ils sont recommandés pour toute personne malade ou dépendante, plus particulièrement aux plus de 60 ans.
Ces soins offrent des prestations paramédicales comme infirmiers, aides-soignants, en coordination avec d’autres intervenants si nécessaire comme : kinésithérapeutes, aide-ménagère, auxiliaire de vie, etc… sous la responsabilité du médecin généraliste ou du médecin spécialisé qui a fait la demande de ces soins.
Pourquoi les jeunes enfants élevés en pouponnières, loin de leurs parents, présentent parfois des faiblesses dans leur développement ?
Les jeunes enfants élevés en pouponnières peuvent potentiellement présenter des faiblesses dans leur développement à cause du manque de stimulation et de liens affectifs que leurs parents leur prodigueraient naturellement.
Le soignant, même très compétent, ne peut pas remplacer les parents. Par manque de personnel, la nature ou l’apparence des troubles de l’enfant pourraient amener le soignant à adopter une attitude contraire à celle dont l’enfant aurait besoin.
Mais plus encore par manque de lien affectif entre le soignant et l’enfant, ce dernier n’aurait pas toute l’attention nécessaire.
Tous ces éléments pourraient entrainer un retard psychomoteur voire un retard du développement affectif et intellectuel.
Qu'appelle-t-on l'infirmière « inaffective par défense » ?
L’infirmière, qui a à la fois un rôle de soignante procurant des soins et un rôle éducatif c’est-à-dire qu’elle apporte un soutien et un accompagnement pour l’enfant pendant les soins a parfois des difficultés à faire la part des choses.
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