Secrétariat

i qui les rongent, de la difficulté de passer à l'âge adulte, d'une détresse ou même du dégoût de la vie. Citons plusieurs exemples de risque chez les jeunes : les sports de l'extrême, la fugue, l'anorexie ou encore la toxicomanie.

Ce qui touche l'aventurier d'Abboville, c'est que celui-ci est en recherche de sensation, il traverse le pacifique à l'aviron, il a conscience du danger mais il a besoin de continuer sa quête personnelle qu' il s'est fixé, il ne lâche rien.

Pour la photographie du peintre, on dirait qu'il se moque de son travail qu'il n'a pas forcément choisi, avec élégance et délicatesse dans sa posture et forcément de l'importance du risque qu'il encourt.

Les personnes peuvent prendre des risques par choix, obligation ou instinctivement sans en avoir décider autrement.

La plupart de ces personnes ont de la famille, des proches mais quelles sont leurs réactions ou même

La réaction devant ces risques de jeunesse est l'inquiétude des parents, des enseignants et des travailleurs sociaux qui ne savent plus comment-faire pour palier ce problème dangereux, pour les risques les plus graves car pour le sport extrême cela peut devenir une passion mais pour l'anorexie ou la toxicomanie cela devient plus difficile. Pour la chanson de Boris Vian, la réaction peut-être héroique ou encore inconsciente devant l'obligation de servir son pays comme le dit l'extrait de ce texte, où il écrit lui-même « Si vous me poursuivez, Prévenez vos gendarmes, Que je n'aurai pas d'armes, Et qu'ils pourront me tuer ». Ce qui est aussi le cas pour l'article du « Télérama », c'est un homme courageux, la conséquence de ces actes fait pleurer ses enfants, angoisser sa femme qui ne pensaient pas le revoir. Mais ce monsieur est sujet à de l'admiration suite à son périple, ce qui prouve que la peur peut se transformer. Concernant l'image, on peut être terrifier à l'idée des risques que doit endurer le peintre, personne n'aimerait être à sa place.

Au final, la prise de risque est quelque chose de commun, tous le monde en prend et il en subsiste plus d'une. Les réactions à cause de celle-ci sont diverses et suscitent pleins d'émotions différentes. Pourraient t'on se passer de prise de risque ? Comment vivrons-nous si l'idée de challenge n'existerai pas ?