La Subjectivité

cipes de la metaphysique, il fait partie des choses supra sensibles. Selon le schema de Descartes, le sujet appartiens a la metaphysique et la metaphysique est le fondement de toute science. On peut donc dire que le sujet evolue avec les sciences.

On remarque que Descartes, dans ses "meditations métaphysiques", ecris a la premiére personne. C'est un philosophe qui dit "je", c'est par le point de vue du sujet qu'il s'exprime.

1ére Méditation:

-revocation en doute des sens

-generalisation des doutes sur le sensible

-question de la folie qui apparait (Cf "Histoire de la folie a l'age classique" Foucault)

=> La folie est l'autre de la raison, pour Foucault la naissance du sujet moderne coincide avec la naissance des asiles (17éme siecle)

-Argument du rêve pour douter du sensible (idée de certitude, de validité du savoir; le sujet surgit au bout de ce désir)

=>Disqualification de la connaissance sensible

=>Resistance: Science Mathematique et Arithmetique

->La phénomenalité pauvre (3+2=5), par rapport a la phénomenalité riche (etre le roi de france, avoir un corps de verre, etre une cruche, [folie]....), est plus simple donc plus resistante

-Argument du Dieu trompeur qui est en fait une partie de l'argument de l'ignorance de l'origine humaine ("Je peux me tromper sur mon créatuer!")

=> Désarrimage du sujet: il ne connait pas son père métaphysique

-Argument du Malin Génie => Nous permet de nous decoller de toutes nos croyances et de touts nos préjugés

On voit que Descartes maitrise sa folie par une certaine methodologie. Elle ne lui est pas imposé, c'est lui qui decide d'en user. Il déclenche une idée hyperbolique d'origine psychotique tout en restant raisonnable. Descartes fait de la science en utilisant le délire. En fait ce qui montre que Desartes n'est pas "fous" c'est que ses tournures de phrases montrent clairement qu'il utilise des suppositions et des hypothése et non l'affirmation du fou.

La volonté a un role capitale dans le doute cartésiens, c'est par lui que l'on rentre dans le doute et c'est aussi par lui qu'on en ressort. Les raisons de douter sont necessairement excessive, car nous sommes toujours porter a croire.

Ainsi même si je pense le faux, le fait que je pense le faut est vrai. La condition du doute est lui même indubitable et echappe au doute lui même. Le sujet est ce qui se trouve après avoir douté de tout ce que l'on puisse douter. D'ou le "Je suis, j'existe", le "je peux" lui est hors de doute car pour douter je dois penser.

Par le "je suis", nous nous assurons de notre subjectivité par l'acte de penser.

-"Je suis une chose qui pense."

Je ne peux pas repondre a la question "que suis je?" par "etre un homme", car sinon je retourne en arriére et le doute ne me servirait a rien. Descartes reponds et devoile ce qui reste aprés avoir douter de tout: "Je suis une raison, un entendement, un esprit." Ainsi le sujet se pense comme un esprit et non comme un animal. La pensée est le seul attribut qui est substantielle, du sujet. On ne peut pas enlever la pensée et rester un sujet. Le sujet est la substance pensante.

On remarque donc un dualisme entre l'ame et le corps.