Littérature

laisir presque sensuel = « de haute grasse ». « ferveur », « passion » = termes forts qui montre que la lecture n’est ps une activité désincarnée (implicat° corps + esprit)

* C’est un devoir de l’humaniste de chercher à comprendre les livres. « Ce n’est pas une telle désinvolture qu’il faut juger les cœurs des humains ».

Cf= « rien de ce qui est humain ne m’est étranger » Terrence.

II- du bon usage de l’exégèse

Une palinodie ?

Critique des commentaires qui veulent tirer le texte vers qqc.

Le syncrétisme : on assimile des œuvres plus anciennes comme pré- chrétiens, manipulat° intellectuel.

Rabelais affirme qu’une œuvre est un mystère qu’il faut élucider mais toute les intérprétat° ne sont ps possible. Se qu’il critique est l’exégèse.

Comique, burlesque = rire. Rabelais suggère que les grands poètes (comme Homère) utilisant plus de vin que d’huile, c'est-à-dire => qu’ils ont passé plus de tps à boire qu’à travailler.

A la fin du passage, il retourne au thème du vin, il règle ses comptes à la critique en les insultant de « tentupin », « merde pour lui ».

Grossièreté : « vits d’âne » (= sexe de l’âne), « que le naul du bec vous trousque »

Autodérision = « mon cerveau caséiforme » = « forme de fromage).

Conclusion : ce prologue est volontairement déconcertant pr le lecteur car il mél sérieux et fantaisie, complexité et simplicité, érudition et grossièreté. Ainsi prévenu, le lecteur doit se réjouir de sa lecture mais rester sur le qui-vive et guetter se qui ds le texte va nourrir sa réflexion et influencer son existence. Rabelais ns invite toute fois à la prudence et à la mesure ds notre interprétation. Le thème du vin annonce la place du corps ds le roman.