Qu'Est Ce Que Le Bonheur

sé : « contraindre » et « heureux », être heureux, c’est se sentir bien, libre d’être ce qu’il veut et de vivre ce qui le rend heureux, et une contrainte, peut être considéré comme une entrave au bien être, car si quelque chose est considéré comme une contrainte, c’est que cette chose ne nous plait pas et ne nous rend donc pas heureux. Mais, dit-il, personne ne peut obliger personne a être heureux. Tout le monde peut devenir heureux, en suivant la voie qui lui semble être la bonne, tant que celle-ci n’entrave pas un autre Homme à suivre celle qui le rendrait heureux.

Tout d’abord dans la première phrase de sa première partie, Kant nous explique les principes qui nous permettent de pouvoir être heureux, et comment ne pas empêcher quelqu’un d’être heureux. Maintenant, pour illustrer sa théorie, il nous l’explique au travers d’un exemple : la loi.

Avec son exemple, Kant veut approfondir sa théorie. Il l’explique a partir d’un exemple simple, que chacun peut comprendre, au travers d’un gouvernement dit « paternaliste » c'est-à-dire, que nous serions considéré comme des enfants, ne sachant pas choisir notre bonne voie pour être heureux, et par conséquent se serait le gouvernement qui en déciderait a notre place. Mais ce qui rend le gouvernement heureux ne sera jamais forcément la ou les même choses que chaque citoyen au cas par cas … par conséquent le gouvernement entrave notre liberté à être heureux, et c’est ce que Kant appelle un gouvernement despotique.

Deuxième partie :

Après avoir expliqué sa théorie/principe, et démontrer par un exemple (gouvernent despotique), Emmanuel Kant va plus loin, en nous indiquant qu’aucun principe universel n’est valable dans ce domaine (il fait une contradiction avec ce qu’il dit précédemment, on pourrait considéré la première partie comme étant une thèse et la seconde comme étant une anti thèse mais les principes qu’il explique précédemment ne sont pas vraiment « strictes » et par conséquent je ne pense pas que ces deux parties puisse être considéré comme une thèse et une anti thèse malgré ces oppositions).

Dès la première phrase qui nous annonce la suite de cette deuxième partie, il nous indique qu’il n’existe aucun principe réel valable dans ce domaine. De plus, contrairement au début, il a remplacé « être heureux » par le mot bonheur, il les considère donc comme synonyme, être heureux serait l’état qui viendrait du mot bonheur.

Il enchaine sur le fait que chaque Homme peut placer son bonheur dans ce qui le rend heureux, pour certaine personne cela peut être une collection de mini voiture par exemple, ou pour d’autre un vieux teeshirt que l’on adore portait malgré qu’il soit vieux, et que d’autre plus neuf soit ranger juste à coté, … et ce dans quoi chaque Homme place son bonheur peut changer. C'est-à-dire que l’Homme change avec le temps et que donc ses moyens d’être heureux changent eux aussi. En grandissant, notre bonheur qui reposé sur des joués par exemple, va changer en même temps que nous, et nous allons alors nous intéressé a d’autre chose comme la mode ou un sport qui nous passionne et c’est cela qui désormais nous rendra heureux. Pour être plus précis, nos moyens d’être heureux ne change pas en même temps que nous. C’est d’abord nous qui changeons intérieurement, en grandissant on gagne en maturité, et par conséquent nos moyens d’être heureux sont différent, et les chemins qui nous mène désormais au bonheur sont a découvrir et ne sont plus du domaine de l’acquis.

Le salut public, loi la plus haute de l’état, est une loi incontournable. Ce texte de loi est fondamental au bonheur de chacun, lorsqu’il est bien interpréter, on peut comprendre que chaque individu peut choisir sa propre voie vers le bonheur tant que celle-ci n’entrave pas celle d’un