Synthèse sur le rêve
Synthèse : Synthèse sur le rêve. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Théo Mass • 11 Juin 2020 • Synthèse • 1 271 Mots (6 Pages) • 1 197 Vues
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-L’adulte aide l’enfant à s’orienter dans son avenir . - Une réponse, un mot , une phrase peut provoquer beaucoup de chose . | - Le système français porte plus d’importance au nombre d’année d’étude. -Il y à des métiers qui sont bien vue et d’autre qui sont plus mal vue - L’influence des parents sur le choix de formation des enfant compte beaucoup -Il faut avoir une grosse détermination car en générale les réaction de l’entourage ne sont pas intéressante - Quand quelqu’un ne c’est pas quoi faire plus tard il prolonge c’est étude sans vraiment savoir ou il va . - Se réorienter est mal vue car ce n’est pas dans les valeurs dominantes - | -On ne suit presque jamais les métiers de nos rêves car on dit qu’il faut faire le plus d’étude possible qui finisse souvent par nous éloigner de notre rêve -L’état et l’école tente d’aspirer ou d’attirer vers un cursus scolaire que eux choisisse -L’école est trop scolaire et ne prépare pas l’élève à trouver un métier -Les élèves sont classer par catégorie en fonction de leur faciliter dans certaine matière ce qui ne veut pas forcément dire qu’il ont envie de poursuivre dans c’est matière. -L’école transforme les élève en fonction de leur qualité mes ne les aide pas a s’orienter -Cela pourrait provoquer que la jeunesse refuse de mené une vie ou un être dans un monde qu’il n’a pas choisi | - - - - - - - |
-Introduction :
Un rêve ne s’imagine pas il se vit. Dans cette analyse, nous nous intéresserons aux rêves que chacun porte en soi. Pour étudier cela, nous allons nous aider des trois documents, Tout d’abord le premier document qui est un sondage de Christine LEGRAND « L’orientation, entre rêve et réalité » le deuxième document que nous allons étudier est un extrait du livre de Anne CHATÉ, « La modération me pénalise-t-elle ? » et enfin le troisième document un article de Mathieu Stelvio qui s’intitule « Petit je voulais être boulanger mais j’étais bon en maths » .
-Ce corpus nous amène à nous demander, s’il serait souhaitable de vivre sans rêve
Le mot "rêve" a deux sens principaux. D'une part il désigne les scénarios imaginaires et les fantasmes pendant notre sommeil ou dans nos rêves diurnes, d'autre part il s'applique à nos rêveries éveillées, à nos aspirations (sens du mot que l'on retrouve dans les deux textes du corpus signés par Christine Legrand et Mathieu Stelvio et Anne chaté . Nous allons nous concentrer sur ce deuxième sens pour répondre à la question posée. En effet, le rêve nocturne est en général oublié à notre réveil et exprime de manière inconsciente nos pulsions. Nous nous intéresserons donc au rêve éveillé. Il nous faut ensuite nous demander ce qui est souhaitable. En général, est souhaitable ce qui est agréable pour notre personne. Une chose bonne peut l'être soit pour le plaisir qu'on en tire, soit pour sa valeur morale, soit pour son intérêt social. Nous nous demanderons donc si le rêve éveillé procure du plaisir, puis s'il s'accorde avec une règle de conduite, et enfin s'il est utile à la société.
Si le rêve est déplaisant, immoral et nuisible à la collectivité, alors il va de soi qu'il est souhaitable de s'en passer. Au contraire, s'il n'est ni désagréable ni nuisible, on ne doit pas souhaiter s'en priver.
Dans un premier temps, nous montrerons qu'il est satisfaisant de rêver, à condition que rêve et réalité s'ajustent l'un à l'autre.
A première vue, il semble que le rêve éveillé nous procure du plaisir. Si on rêve d'être riche, par exemple, ou de vivre un grand amour, on me représente une possibilité agréable, donc on se figure quelque chose qui paraît merveilleux. Je me complais à m'imaginer riche ou aimé. Cependant, si le rêve ne correspond pas à aux possibilités, on serait amené à déplorer notre état réel et à éprouver une frustration plus ou moins douloureuse…
C'est d'ailleurs ce que Christine Legrand nous fait valoir dans son article intitulé « L'orientation, entre rêve et réalité » (journal La Croix daté du 27 mai 2008). Au fond, c'est l'incompatibilité entre un rêve insensé et la réalité qui fait du tort. Une inadaptation qui peut nous faire sombrer dans la folie ou le délire. Le rêve nous procure du plaisir, du contentement. Mais est-il bon de réaliser son rêve, d'un point de vue moral ? Rêver en soi n'est rien d'autre que laisser libre cours à son imagination. Nos images mentales ne font de mal à personne puisqu'il s'agit d'une réalité virtuelle. Mais si le rêve engendre l’action, alors il faut qu'il se tienne dans les limites de ce qui est acceptable moralement.
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