Ecriture d'Invention La Science Fiction
Mémoire : Ecriture d'Invention La Science Fiction. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresommande et arrêterais ces êtres horribles ; mais son oncle qui ne l’avait jamais vraiment considérées comme sa nièce et l’avait offert à un de ses serviteur à l’âge de deux ans ne lui avait laissé aucun testament, aucune manière d’accéder à la commande des robots. La seule chose qu’il lui avait laissée était un pendentif qu’elle portait depuis sa naissance.
Mélissa était depuis plus de deux ans dans les rues se cachant pour ne pas être aperçue par son maître et les policier robots qui la cherchaient sans cesse. Nous étions le vingt-trois mars, le jour de son anniversaire, le troisième anniversaire qu’elle passer sans un maître, le troisième à chercher sans arrêt le retour à la liberté des Hommes. Elle avait décidé pour son dix-huitième anniversaire de retourner sur le lieu de la mort de ses parents qu’elle n’avait jamais connus. C’était en haut d’un vieux building de Dublin ; enfaite elle venait la tous les ans, et imaginait la vie qu’elle aurait pu avoir dans un monde normal, sans robots, mais surtout avec des parents qui l’auraient aimée .En s’allongeant sur une caisse en bois qui avait toujours était là , elle fit tomber son collier qui se brisa ; la jeune femme éclata en sanglots . Mais tout d’un coup elle se rendit compte de quelque chose ; il y avait un bout de papier dans les débris de son pendentif. Elle se pencha et le ramassa une adresse y était indiquée .Elle compris alors, c’était son oncle qui avait surement du lui laisser sa en guise d’indice, en tout cas elle l’espérait énormément. Mélissa décida de se rendre à l’adresse indiquée dès le lever du jour.
Le lendemain matin dès l’aube elle entreprit ses recherches .Elle arriva à l’adresse indiquée, mais ne trouva rien ; il y avait juste un mur de brique avec un porte condamnée. Mais soudain elle aperçue sur une brique le même motif que son pendentif, elle s’approcha, tapa sur la brique et se rendit compte qu’elle était creuse. Elle prit le canif qu’elle avait toujours sur elle pour se défendre et détacha la brique. A l’intérieure se trouvait une enveloppe ; elle l’ouvra et découvrit une lettre qui lui était adressait, elle reconnut sans hésiter son expéditeur, c’était son oncle, elle avait donc bien eue raison.
Elle lut la lettre : « Ma chère nièce, si tu savais comme je regrette … Je t’écris cette lettre car je sais qu’ils me trouveront bientôt, ce n’est plus qu’une question d’heures. Si je t’écris c’est tout d’abord pour que tu puisses réparer mes erreurs, croit moi j’étais jeune quand j’ai entamé le projet de régner sur la terre, oui, j’étais jeune et insouciant. Aujourd’hui je suis condamné, je veux donc te dire que le choix de t’abandonner à un de ces êtres horribles a été stratégique, je savais que la chance allait tourner et qu’un jour ils s’en prendrons à moi et ma famille, si je te laissait à un maître comme tous les autres humains je savais qu’ils ne pourraient pas te reconnaitre…A l’heure qu’il est je t’en conjure sauve les humains , je t’ai laisser le plan d’accès au centre , il se trouve sur l’archipel du Japon , tu pourras y accéder à l’aide du seule robot qui pourra t’être fidèle car il a était conçu à partir d’un autre programme que les autres il se trouve dans la ville de YongChû en Chine , tu trouveras donc toutes les indications pour le retrouver , ne t’en fait pas il te reconnaitra …
Je t’en conjure ma petite Mélissa, sauve ta vie et celle des autres humains
Je t’aime… »
Mélissa s’effondra, elle qui avait cru toute sa vie que son oncle était un monstre qui s’était débarrassé d’elle ...Elle pleura pendant plus d’une heure puis entrepris de commencer son voyage .Elle partis le soir même dans une des navettes utilisées notamment pour les échanges d’humain entre maître ...
Elle arriva à YongChû une demi-journée plus tard et se rendit à l’adresse indiquée. Elle n’y trouva personne ; mais soudain une main se posa sur son épaule puis elle hurla. Mais elle découvrit un robot souriant comme si ils étaient amis depuis des années, une expression qu’elle n’avait jamais vu sur les autres robots. Il se présenta et comme prévu il l’avait reconnue. Il lui expliqua pourquoi il était différent des autres puis trouvèrent un plan d’accès à la source de commande des robots. Son nouveau compagnon se prénommait Kujy ; il lui expliqua que le lendemain serai une date parfaite pour y accéder car c’était le jour de congé des employés, c’était donc l’occasion rêvée. Kujy avait travaillé pendant des années au centre de commandement du centre pendant le règne de Max son fidèle ami et avait conservé tous ses badges d’accès .Cependant Mélissa ne pouvait pas accéder à l’ile sous sa forme humaine mais Kujy avait déjà tout prévu depuis des années, en effet il avait décidé de prendre les coques d’un robot désactivé et de les visser sur la jeune fille comme il elle portait un scaphandrier.
Ils se rendirent le lendemain des qu’ils le pure sur l’ile, avec une certaine facilité car ils avaient réussis à se procurer des uniformes de gardes, le moment était proche, ils passèrent tous les contrôles et arrivèrent devant une porte qu’ils n’arrivèrent pas à ouvrir avec leurs badges ; Mélissa commença à perdre espoir mais elle se rendit compte que Kujy était en train de pleurer. Cependant elle savait que les robots ne pouvaient pas pleurer. Elle le prit par la main et lui demanda ce qui n’allait pas et pourquoi il pouvait pleurer. Elle du beaucoup insister pour qu’il lui avoue, en vérité il n’était pas entièrement un robot il était aussi à moitié humain. Kujy avait été transformé en robot durant une expérience scientifique qui avait mal tournée. Mélissa resta bouche bée mais Kujy lui demanda de continuer leur mission. Ils ne trouvèrent toujours pas de solution pour ouvrir la porte. Au bout de quelques minutes Kujy avoua à la jeune femme qu’il ne restait plus qu’un seule moyen pour ouvrir la porte , il fallait qu’il créer un court-circuit , ce qui entrainerait sa mort immédiate. Mélissa refusa car elle commençait à s’attacher à ce robot
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