Le Coche Et La Mouche

t de bataille » : métaphore => humanisation et parodie du registre épique ; sucite l'admiration devant les exploits de la mouche.

-« allant à chaque endroits » => confirme agitation de la mouche.

Vers 16 : -Marque la fin de la 2ème partie

-« ses gens » => maître de la situation.

-« hater la victoire » => rapport à l'univers militaire.

Vers 17 : « commun » => traduit une habitude.

Vers 18 : -« se plaint » : personnification et style indirect => humanisation.

Vers 19 : - « Qu'aucun » => plainte de la mouche.

- Style indirect libre => Humanisation.

Vers 20 : -Le moine dit son bréviaire => Chacun a sa manière d'aider & ironie de la Fontaine qui critique le clergé.

Vers 21 : -La femme chante => Chacun a sa manière d'aider & ironie de la Fontaine envers le clergé renforcé par la ponctuation. « ! ».

Vers 22 : -Citer le texte => tournure ironique et souligne l'évidence que la mouche avait raison.

- ponctuation « ! » => marque l'énervement de la mouche comme si c'était la seule à aider.

Vers 23 : -Citer le vers => aggacement de la mouche.

-« Dame » ;« chanter » => Humanisation et renvoi à une tradition médiévalle.

Vers 24 : -« sottises » => renvoi à un effet comique et ironique de la fable.

Vers 25 : - « Après bien du travail », on ne sait pas qui a travailler.

- « arrive au haut » et passage de l'imprafait au présent => fin de la 3ème partie.

Vers 26 : -« respirons » + impératif et discours direct => humanisation de la mouche. Montre qu'elle dirige.

-« aussitôt » => aggacement vers la mouche.

Vers 27 : -« J'ai tant fait », formule amphatique (exagération) => Montre l'orgeuil de la mouche , son pouvoir, le fait qu'elle s'attribue tout le mérite.

-« nos » => dédoublement de la mouche et souligne sa prétention.

Vers 28 : -« plaine » => créer un vide comme si tout était fini.

Vers 29 : -« payez-moi » , le mérite d'une récompense => orgueil et humanisation de la mouche.

Vers 30 : -« peine » , rime => âme poétique de l'auteur & fin de la 4ème partie.

Vers 31/32/33/34 :-anaphore « partout » => créer un phénomène d'insistance.

-« chassés » => référance au thème de la mouche + touche d'humour + fin de la 5ème partie.

Cette fable a un effet héroi-comique. Elle traite un sujet bas en style noble. La morale est que beaucoup de gens se croyent utiles alors que non.

Le Coche et la MoucheDans un chemin montant, sablonneux, malaisé,Et de tous les côtés au Soleil exposé,Six forts chevaux tiraient un Coche.Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.L'attelage suait, soufflait, était rendu.Une Mouche survient, et des chevaux s'approche ;Prétend les animer par son bourdonnement ;Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout momentQu'elle fait aller la machine,S'assied sur le timon, sur le nez du Cocher ;Aussitôt que le char chemine,Et qu'elle voit les gens marcher,Elle s'en attribue uniquement la gloire ;Va, vient, fait l'empressée ; il semble que ce soitUn Sergent de bataille allant en chaque endroitFaire avancer ses gens, et hâter la victoire.La Mouche en ce commun besoinSe plaint qu'elle agit seule, et qu'elle a tout le soin ;Qu'aucun n'aide aux chevaux à se tirer d'affaire.Le Moine disait son Bréviaire ;Il prenait bien son temps ! une femme chantait ;C'était bien de chansons qu'alors il s'agissait !Dame Mouche s'en va chanter à leurs oreilles,Et fait cent sottises pareilles.Après bien du travail le Coche arrive au haut.Respirons maintenant, dit la Mouche aussitôt :J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.Ca, Messieurs les Chevaux, payez-moi de ma peine.Ainsi certaines gens, faisant les empressés,S'introduisent dans les affaires :Ils font partout les nécessaires,Et, partout importuns, devraient être chassés.

Jean