Litté

ssi par son caractère irrationnelle est violent. Nous verons plus loins influence d'une roi sur ces sujets. Leur comportements lors de la guerre est la reflet de celuit de leur rois, sans ordres ni raisons ( cf : chapitre 4).

La défaite de Picrochole est pitoyable. Il tue son chevale, se fait rouer de coups dépouiller par des meuniers. Il est réduit à une periphrase qui est un fait une traduction de son nom : « ainsi s'en alla notre pauvre colèrique » ( chapitre 49). le narrateure reste mystérieux sur ce qu'il advient de lui, terrifier par la malaidiction une sorcieère. Il insiste sur le fait qu'il na pas changer, mérittant bien son nom jusqu'à la fin : « colère comme d'avant » ( colèrique comme aurparavant)

Pour décrire Picrochole, les expressions suivantes souligant ainsi à quel point son

Le personnage de Pichrocol depasse celui d'un tyran ambitieu . Par son biai Rabelais fait une satire politique de Charles Quint rivale de François 1er.

Losque ses fouaciers viennent se plaindre, Pichrocol entre dans une colère aveugleet irréfléchie décidant d'attaquer Grandgousier « son plus grand oultre se interroguer » chapitre XXVI. Ce propos rappelle la devise de Charles Quaint : Plus oultre ( plus loins ) signifiant que la monarque voulait étendre le plus possible son empire. La plaisenterie revient quand Picrochole refuse d'entendre l'avis raisonnagle d'un de ses hommes « passons oultre » chapitre XXXIII. Rabelais suggére ainsi que l'ambition de Charle Quint révèle de la déraison.

LA charicature tient aussi au fait qu picrochole est orgeilleux et stupide. Le chapitre 33 le montre soumis à ses consais admis eillers qui le pousse à consquérir « l'empir univevers. D'emblée ils le disent supérieu à Alexandre considérons comme le plus grand conquérant de l'histoir. Ensuite les listes de pays à envahir se succédent dans un projet de conquête irréaliste mais admis par Picrochole.

Mais Rabelais utiliser aussi ce personnage pour brosser le tableau de l'humanité corropue le péché originel égérée dans l'erreur et les croyances.

Dans le chapitre XLV , Grandgousier s'emporte contre les « faulx prophetes » qui encouragent les croyances dans les pouvoirs des saints, puissance les hommes à partir en lange pèlerinage. Les humanistes dénonçaient ses pratique qui laissait seule épouse et enfants, fragilisant les familles et la société civile.

Le roman dénonce également la foi superstitieuse dans les prophéties . Les pellerins sont convaincu que leurs maisaventure « avoir rester prédicte » dans un pcaume( cahpitre. XXXVIII) Rabelais à écrit des fasicule d'astrologie dans lequelle il se moque des prophéties. Insistant sur les fait que l'avenir ne peut être connu que par Dieu. Or Picrochole est un adepte des pellerinage : il déclare vouloir se rendre à notre Dame de Lorette. Ensuit, il se fie aveuglement à une sorcieère qui lui prédit la restititution chimérique de royaume ( chapitre XLIX)

L'attitude de se personnage soulève en autre la question du libre arbitre, faculté qu'a l'homme de penser et d'agir librement. En déclarant que « Dieu eternel l'a laissé gouvernail de son Franc arbitte et propres sens, qui ne peult enstre que méchant s'y par grâce divine n'est continuellement guidé » ( chapitre