Nourir les hommes

rdio-vasculaire et l'obésité touché par 400 millions de personnes à l'échelle mondiale. Ce problème concerne les pays riches comme les États Unis ainsi qu'une population riche des puissances émergeantes.

Les pays en voies de développement sont composé de deux types d'agriculture : l'agriculture vivrière consistant a nourrir la population et occupé la majorité des paysans (soit 2 milliards de personnes concerné dans les PED) et l'agriculture commerciale qui réalise des productions destiné au marché comme le café. Dans tous les pays en voies de développement, l'agriculture vivrière est peu productive en effet il y a beaucoup de paysans mais peu de moyens techniques. La production est donc à peine suffisante pour nourrir les populations locales. Quand la population augmente énormément, la production devient insuffisante (exemple : Afrique Subsaharienne). C'est une agriculture très performante (moyens financiers et techniques importantes) destiné au marché mondial souvent aux mains de grands propriétaires ou de sociétés occidentales. Dans les pays en voies de développement on distingue des avantages (exportation, enrichissement des propriétaires et les ouvrier agricoles reçoivent un salaire) et des inconvénient (enrichissement très limité de la population : uniquement les proppriétaires, salaires misérable donc une pauvreté importante, concurrence l'agriculture vivrière et une agriculture souvent polluante) à cette agriculture. Pour augmenter la production agricole, il y a deux solutions : par l'extension des terres cultivés et par l'amélioration des techniques. On créé de nouvelles zones cultivées essentiellement dans les forêts tropicales comme au Brésil (Amazonie), en Afrique Équatoriale et en Asie du Sud-Est (Indonésie). Mais cette novation a aussi ces limites puisque la superficies à défricher est restreinte et cela entraine à des problèmes écologique puisque la forêt tropicale disparaît. L'intensification élémentaire est une technique simple et peu coûteuse introduite pour augmenter les rendement (exemple : engrais naturel et/ou chimiques, irrigation, semenses productive). Cette innovation permet une augmentation de la production, toute fois insuffisante pour de nombreuses régions. Les techniques sont financées et encadrées scientifiquement par trois types d'institutions : les organisations humanitaires, les organisations internationales (ONU, FAO) et les pays riches comme l'Union Européenne, le Japon (aide publique au développement).

Aujourd'hui l'agriculture productiviste nourrit l'essentiel de la population mondiale. L'agriculture productiviste recherche une productivité et des rendements très élevés. Elle le fait par des moyens financiers et technologiques très poussé mais avec une main d'œuvre peu importante (2 à 3% de la population active). Les moyens mis en œuvre pour cette agriculture sont la mécanisation, l'usage d'intrants chimiques (engrais, pesticides), des sélections animales et végétales (espèces les plus performantes), le développement de l'élevage et de la culture hors-sol enfin le recours aux OGM. L'élevage hors-sol est l'élevage très artificielle où les animaux sont concentré dans des lieux très exigüe où l'alimentation n'est pas traditionnelle. Exemple : les porcheries industrielles ou encore les feedslots aux États Unis (Texas). L'agriculture productiviste cherche un maximum de profit et produits une quantités très importante qui est vendues sur le marché mondiale c'est à dire que les échanges de produits agricoles augmentent. L'agriculture des pays développé sont intégré dans un vaste système économique, c'est l'agrobusiness. Ce secteur de l'agrobusiness est dominé et contrôlé par de grandes entreprises appelées firmes transnationales (FTN) dont les activités sont réparties dans plus de pays (exemple : Mc Donalds aux Etats Unis, Nestlé en Suisse, Danone en France ou Philip Moris aux USA). Ce type d'agriculture concerne avant tout les pays développés mais certaines puissances émergeantes ont mis en place une modernisation de l'agriculture. (exemple de l'Inde et la « révolution verte »). Ce type d'agriculture permet de nourrire la population mondiale de manière satisfaisante mais il existe trois type de limites. La première est la limite sociale valable pour les pays développés et en voies de développement. L'agriculture productiviste nécessite des moyens financiers considérable c'est à dire que seuls les population plus riches et les plus puissant en profitent ainsi les plus pauvres sont exclus et mène à la concentration des terres aux mains de quelques uns. La deuxième est la limite économique au niveau du marché mondial. En effet, les pays développé sont favorisé par rapport aux PED. Ils peuvent subventionner leur agriculture pour