Récit Fantastique
Note de Recherches : Récit Fantastique. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresh ! » cria une jeune femme. Et là, ce fut la bousculade.
« Eli ! Eli ! Un autographe ! S’il vous plait ! » hurlait tout ce petit monde.
Je me dépêchai de prendre ma voiture cabriolet rouge et appeler des gardes du corps, afin que je puisse rentrer chez moi sereinement.
« Madame ! Vous avez laissé tomber votre papier concernant les informations sur votre commode », avait dit l’ancienne propriétaire de ma désormais commode. Je ne l’ai pas écouté et couru dans ma voiture. Des renforts arrivèrent et je n’attendu pas une seconde pour profiter de prendre la route pour rentrer dans ma demeure sans foule derrière moi. A peine arrivée à mon domicile je m’étalai sur mon lit tout moelleux décidant quelle place ma jolie petite commode occuperait dans ma chambre. « Là ! Oui, ce serait parfait ! ». J ‘avait trouvé un petit coin au fond de la pièce pour la placer. J’emmena ma commode et la contempla. Tout était en harmonie. J’étais satisfaite !
« Ding dooooong », ça sonnait.
« - J’arrive !
- Bonjour Eli ! »
C’était ma voisine, une charmante femme, plutôt âgée, que je côtoyais tous les jours.
« - Je viens t’apporter une quiche faîte maison, spécialement pour toi !
- Oh merci ! Quelle délicate attention de votre part !
- Il est maintenant dix-neuf heures, que le temps passe vite… J’espère que tu n’as pas encore mangé !
- Je viens juste de rentrer justement, je vais manger votre délice sans plus tarder. Vous restez manger ?
- Non, merci Eli mais je vais au restaurant avec le grand monsieur qui habite au coin de la rue.
- Et bien, amusez-vous bien !
- Merci Eli ! Bonne soirée !
- De même, à bientôt ! »
Cette odeur de quiche me donnait faim. Je n’attendis pas plus longtemps pour l’engloutir. Une fois finit, je retournais dans ma chambre. Je tentais d’ouvrir les tiroirs de la commode quand je m’aperçus que c’était impossible. Les tiroirs ne s’ouvrez pas.
« Tant pis, je suis peut-être fatiguée, je verrais ça demain matin ! » pensais-je.
Je me coucha, lu un livre et m’endormi.
Le lendemain matin, je me réveillai, et, surprise, je retrouvai ma commode à côté de mon lit… Je pensais devenir folle ! Je la replaçai à sa place puis, je continuai ma journée normalement. Une journée banale s’écroula, entre la visite quotidienne de ma voisine, une petite heure de shopping, un petit moment cuisine et un peu de ménage. Le soir venu, j’étais épuisée. Comme d’habitude je me couchai avec un livre, ce jour-là, j’avais décidé de commencer « Un lieu incertain » de Fred Vargas, un roman policier pour changer du livre que je venais de finir… « Harry Potter à l’école des sorciers ».
Nous étions mardi, je me réveillai, et, je ne compris pas comment ni pourquoi ma commode était revenue à côté de mon lit ! J’eus très peur… Je n’osais plus sortir de mes draps imaginant que quelqu’un rodait dans les parages. Je finis par sortir un pieds, deux pieds, et m’assis au bord de mon lit. En me levant je heurtai ma commode.
« - Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! disait une autre voix.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! QUI EST LÀ ? répondis-je paniquée !
- Bonjour… La politesse avant tout.
- Où êtes-vous ?
- Devant vous mademoiselle.
- Je rêve ! C’est ma commode qui parle ? Je crois que je vais aller me rendormir…
- Vous ne rêvez pas… A votre avis comment je serais venu à côté de votre lit ? »
Ma commode me raconta son parcours dans de nombreuses familles. Elle me disait qu’elle finissait toujours en vente, que personne ne voulait la garder car cela rendez des personnes folles.
« - Gardez-moi… Je vous en supplie.
- Je vous avouerais que je ne réalise pas encore ce qu’il se passe.
- Si vous aviez lu la notice, vous auriez pas était surprise !
- C’est donc ce fameux papier que j’ai négligé le jour où je t’ai acheté.
- Exactement.
- Dis moi, pourquoi changes-tu de place la nuit ? Tu ne sais donc pas rester en place ?
- Je voulais vous protéger mademoiselle. La nuit je tue énormément de moustiques affamé de sang.
- Cela explique tout.
- Gardez-moi. Je ne peux que te rendre service.
- Je te garde. Avoir une commode vivante cachée chez soit, c’est plutôt cool. Quel est ton nom ?
- Gaspar et toi ?
- Appelle-moi Eli !
- Alors soyons amis, Eli.
Une belle histoire d’amitié commençait entre Gaspar et moi. Il veillait sur moi, je l’entretenais comme il se doit et nous rigolions beaucoup ensemble. Une compagnie très agréable !
Un jour, tout bascula ! C’était ce 6 Juin 2oo8…
Je me réveillais, comme chaque matin, sauf que ce matin là, Gaspar était comme… Mort. Il ne parlait plus, ne marchait plus, ne répondait plus… En observant bien ma commode, je trouva un numéro gravé. Il n’y était pas avant, j’en étais sur ! Je m’approchai quand je vis que le numéro inscrit était le numéro « 666 », le numéro du diable…
Je ne compris pas ce qu’il se passait. Tout d’un coup, le téléphone sonna. Le numéro s’afficha « 666 ».
« - Allo ? disais-je avec une voix très effrayé.
- Bonjour. Ici Diablo, le secrétaire de l’Enfer.
- Arrêtez cette plaisanterie !
Je raccrocha. J’étais morte de peur ! Le téléphone resonna. Encore le même numéro.
« - Oui ?
- Quel est le numéro qui s’affiche jeune fille ? Dis une voix glaciale.
- 666 ?
- Ne raccroche pas. Si tu raccroches tu pourrais perdre la vie.
- MAIS QUE CE PASSE-T-iL ? Si c’est une blague, ce n’est
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