Etude Maison Hermès
Thèse : Etude Maison Hermès. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar m3II155a • 9 Décembre 2021 • Thèse • 331 Mots (2 Pages) • 482 Vues
CIBLE VISÉE :
=> La cible visée d’Hermès est majoritairement la classe supérieure, avec une minorité de consommateurs de classe moyenne pouvant s’offrir des produits moins cher de la Maison, incluant les accessoires et les produits de beauté.
PSYCHOGRAPHIE (étude poussée du consommateur basée sur ses activités, ses intérêts et ses opinions):
Les consommateurs qui achètent des produits Hermès incarnent l’essence de la mode ; ils sont au courant des dernières tendances, s’habillent de manière chic et ont un gros budget. De plus, ils recherchent un sentiment communautaire avec des profils et un statut similaire à eux même.
DÉMOGRAPHIE : (étude statistique qui étudie un groupe d’humains)
Les consommateurs actuels d’Hermès ont un statut important, sont riches et sont par ailleurs souvent des célébrités, des familles royales, des élitistes.. Ces individus sont des hommes et des femmes de + de 25 ans, souvent d’un âge mature, avec de gros revenus. Cependant, la cible visée commence à évoluer en sachant que les produits de la Maison attirent de nouveaux clients moins fortunés autour du monde.
GÉOGRAPHIE :
Hermès dispose de plus de 300 boutiques autour du monde, disposées très intelligemment dans des zones entourées par des quartiers prestigieux. Récemment, la pandémie de la COVID-19 a donné une nouvelle dimension à la Maison, en les ouvrant fortement à une nouvelle expérience luxe-client en ligne. Cependant, pendant que les ventes augmentent, le côté exclusif de la marque diminue au fur et à mesure que les produits sont achetés par des consommateurs de prime abord non ciblés.
Enfin, la filiale Shang Xia apporte un vent de fraîcheur à la Maison Hermès en 2015 tout en gardant son authenticité. Malheureusement, la filiale chinoise peine à plaire à son public initial de par un manque de compréhension, de communication et d’ouverture d’esprit: les consommateurs reprochent à la filiale que les produits viennent de Chine et qu’ils sont de moins bonne qualité que ce que propose la Maison mère. La cible française est peut-être trop attachée à ses habitudes traditionnelles.
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