L'Afrique australe

6)

Considérant que la région de l’Afrique australe est un endroit dans le monde où se trouvent plusieurs problèmes grandement liés au retard technologique, médical et urbanisme contrairement aux grand pays de nord. La chaleur et les moyens de transports qui ne sont pas l’idéales pour cette région n’aide pas non plus la situation surtout lorsqu’il est question d’urgence autant médical, sanitaire et d’approvisionnement pour la nourriture et l’eau potable. L’un des pays de cette région n’échappe pas à ces mauvaises conditions de vie, l’Angola, un pays où l’eau potable est un grand problème. D’abord, il est important de savoir que ceci n’est pas seulement un problème d’accessibilité à celle-ci, mais elle peut aussi engendrer des problèmes pour l’agriculture et développer des maladies. ^[1] Évidemment, l’accessibilité à cette ressource prédominante à notre survie est un gros problème. Au total, « plus de 6,3 millions d’angolais n’ont pas accès à l’eau potable ^[2]» et pas seulement dans les petits villages, mais la moitié de cette statistique ce concentre dans la capitale de l’Angola, à Luanda. Puisqu’il n’a pas de source d’eau potable à proximité et que le gouvernement n’investit pas pour nettoyer ses eaux, les habitants de cette ville ont besoins d’aller chercher cette ressource dans d’autres villes. Ceci peut en devenir un problème majeur, car le trajet est long et même dangereux dans certaines occasions alors les marchands d’eau potable peuvent mettre leur vie en danger. Cette tâche n’est pas du tout repos, il nécessite beaucoup d’effort et de courage, car il n’est rare que parfois ils se font attaquer. Ensuite, la question d’accessibilité pour plus de 3 millions de villageois ^[3] n’aident pas à l’entretien des terres cultivés. Cette mauvaise qualité de l’eau est remplie de maladies qui vont aller infecter les produits cultivés, et tout cela en les nourrissant de leur eau. Ces mauvais aliments vont alors, à leur tour, avoir un impact dans le système humanitaire de l’Homme. Les maladies deviennent encore plus fréquentes que jamais et puisqu’il n’a pas d’investissement économique et matériel dans ceci amène des maladies grave pour la population entière. Luanda est la capitale où il a eu le plus d’épidémie dans le pays avec la maladie de la fièvre jaune^[4] ce qui est assez alarmant.

7)

Afin d’améliorer la situation de l’Angola, il serait important d’envisager de résoudre le problème d’eau potable du pays, et surtout de Luanda. Amener des solutions aiderait d’abord la situation du pays et de sa condition de vie. Avec sa source d’eau potable répartie où le trois quart de dans les milieu rural (75,4%) et le quart dans de milieu rural (28,2%). Ensuite, l’emploi dans le secteur est aucunement comme dans les pays riches tel que le Canada où le 79% des travailleurs se retrouvent dans le domaine des services. Le main d’œuvre en Angola se retrouve quasi-essentiellement dans le domaine de l’agriculture (85%) et il ne faut pas oublier que l’agriculture a comme principale composante de l’eau propre. Sans oublié que seulement 44% de la population vit dans les milieux urbains, alors comme constat il est prouvé que moins de la population vie sans l’accès à l’eau potable, ce qui est inacceptable. Ce haut taux d’emploi dans le domaine d’agriculture démontre que le pays vit davantage d’aliments cueillies infecté par la malpropreté de l’eau. Le projet d’avoir de meilleur source d’eau potable pourrait alors aider aux conditions de vie et a l’espérance de vie. En se référant au statistique décrites plus haut, les données aideraient assurément l’espérance de vie qui est actuellement de 54,8 ans pour les hommes et 57,2 ans pour les femmes, soit près des 30ans d’écart entre les habitants du Canada, ce qui est drastique. De plus, projet aiderait probablement le taux de natalité qui est assez élevé comparativement au grand pays au nord des États-Unis qui est d’environ 1,6 enfants par femme, qui est de 5,31. En analysant davantage ces informations, il y aurait un taux de mortalité infantile d’environ 76,5 enfants pour mille personnes, ce qui fait 0,4 (7,65%) enfant qui va mourir par femme en Angola. Ceci semble peu, mais on les comparant aux habitants du Canada, les femmes ont 0.007 (0,46%) enfant qui meurt, ce qui est horrible. Ce projet aurait aussi des impacts positifs en descendant le taux de mortalité infantile chez les enfants. La population aurait donc une meilleure espérance de vie en agissant rapidement. En 2007, une ONG bien connu, l’organisation Médecin sans frontières (MSF) va alors amener des solutions pour améliorer l’accessibilité d’eau potable dans la région de Luanda. Cette mission a pour bu d’importer des camions-citernes remplit d’eau potable venant d’un fournisseur près du fleure Bengo qui se situe à une vingtaine de kilomètres de la capitale de l’Angola. Il y aurait environ 300 camions-citernes qui arriveraient à destination dans une journ.es afin d’offrir de l’eau potable, bonne à consommer a la population angolaise. Cette mesure a davantage pour but de réduire le taux de personnes ayant contracter le choléra, une maladie mortelle, qui est dut à une mauvais consommation d’eau. MSF aurait affirmé que la seule solution sûre était une bonne et meilleure consommation de l’eau dans ses régions, afin d’aider la population à ne pas s’empoisonner avec de l’eau non nettoyé.