Le Passeur

bon cœur (a pitié de Renart qu'il croit blessé) |

Exercice n°10

Il utilise la parole pour faire ses ruses ou pour jouer ses tours : ici c'est pour flatter Tiécelin le corbeau, Quand il s'adresse aux marchands c'est pour se moquer deux.

Exercice n°11

A la fin de l'histoire Tiécelin a perdu son fromage. Il est tombé dans le piège de Renart qui le flattait et laisse donc le fromage tomber à la merci de Renart.

Exercice n°12

Les marchands auraient du attacher le Goupil rusé pour éviter qu' il puisse voler

les anguilles.

Exercice n°13

Renart est heureux de ses ruses et de pouvoir se moquer d' eux, Tiécelin et les marchands se sentent dépossédés de leur bien, ils sont furieux : ils s'insultent. le corbeau a pour seul satisfaction de rester en vie et cela le console car le Goupil est a moitié satisfait.

Exercice n°14

Mots appartenant au chant lexicale de la musique = chant, chanter, chanteur, chantait, musique, ritournelle.

Exercice n°15

Le mode utilisé pour les phrases employées par Renart est le mode subjonctif.

(Recherche Bescherelle)

Tiécelin : « Que Dieux vous maudisse ! »

Les marchands : « Que ces anguilles vous fassent crever ! »

exercice n°16

Les histoires du roman de Renart ressemblent à des fables car elles sont courtes. Les personnages sont des animaux que l'on personnifie. Le héros emploie la ruse, c'est un beau parleur, il aime se moquer. L'histoire se termine par une morale. Les autres personnages sont souvent prétentieux ou naïfs et finissent souvent par être trompés.

Exercie n°17

La fable de la Fontaine « Le corbeau et le renard » est écrite en vers. Elle utilise aussi des animaux personnifiés. Le renard est flatteur et rusé, le corbeau naïf. Il y a une morale à la fin.

Dans le roman de Renart, il s'agit de plusieurs histoires courtes et nous retrouvons le héros dans différentes aventures. Le héros ne gagne pas à tous les coups. La leçon est pour le corbeau qui se laisse flatter et devient donc très imprudent mais Renart qui est très impatient sera vexé de ne pas avoir attrapé le corbeau.

Exercice n°18

Apprenez, Messieurs les marchands,

que tout naïfs vit au dépend de celui qui les trompe,

cette leçon vaut bien un collier d'anguilles sans doute.

Les Marchands, honteux et furieuxJurèrent, mais un peu tard,

qu'on ne les y prendrait plus.