Méthodologie Du Mémoire

que soient associés collectivement à présent tous celles et ceux qui, responsables pédagogiques et secrétaires des centres de région, animent et font vivre notre mission :

ALSACE : Mme. FERANDEZ Liliane, Mme. KROPFINGER Mélanie. AQUITAINE : M. GUILLET Bruno, Mme. NEUVEU Dominique.

CHAMPAGNE-ARDENNE : Mme. DUBREUIL Rosana, M. MEREAU Jean-Paul.

LANGUDOC-ROUSSILLON : M. BENEZECH Yves, Mme. MARTINEZ Marie-Thérèse.

MIDI-PYRENEES : M. TORDJMAN Franck Mme. CROUZIL Christine.

NORD. PAS-DE-CALAIS : M. MOSCA Philippe, Mme. DELOBEL Marie-Pierre.

PAYS-DE-LA-LOIRE : M. DAVIS John, Mme. SERREC Christelle.

Mme. JOUSSEAUME Sophie.

PICARDIE : M. ESPINE Laurent, Mme. DAIGNY Caroline.

PROVENCE-ALPES-COTE D’AZUR : M. PALOU Xavier, M. DUPEUVALLON François.

RHONE-ALPES : M. CAILLET Claude, Mme. GIRAUD Frédérique.

Mme. BENISTAN Cécile.

MARTINIQUE : M. MONLOUIS Michel, M. HUBERT Pierre-Louis.

1) Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences commerciales. (2) Association française de stratégie. (3) Association de Marketing. (4) Le Marchandisage en français. (5) Fédération dont est directrice déléguée, Mme. Chantal ZIMMER, notre présidente actuelle.

Ceci, sans oublier tous les élèves et anciens élèves, souvent impliqués au travers de leurs associations, qui, par leurs questions, leurs travaux, leurs résultats et réussites professionnelles –notre vraie récompense !- me confortent et m’encouragent.

Je ne voudrais surtout pas omettre, bien que par civilité, je la mentionne en dernier, mais « les derniers ne seront-ils pas les premiers »…, de souligner le précieux travail que fait au quotidien l’équipe administrativo-pédagogique parisienne : Mmes ADJLOUT Zahra, ALVES Rosa, BOULAHBEL Nadia, COPPE Sylvie, COUTANT Christine, DAIF Ilham, MENOT Nathalie, SOLER Brigitte, toujours présentes ou qui sont parties pour d’autres aventures professionnelles, auxquelles s’ajoutent les 2 Maîtres de conférences de la Chaire de M. BLOCH : Delphine DION et Julien VIAU, qui, par son suivi, sa qualité d’écoute et d’exécution tant auprès des élèves que des enseignants, m’apporte la compréhension la plus juste de ce que doit être mon propre travail et ma façon de le mener.

A tous, pour leur engagement, pour leur discipline, leur conviction de porter haut l’Icsv, qu’ils reçoivent témoignage de ma sincère gratitude.

NOTA BENE.

La présentation du Mémento prend en compte les consignes et les normes à mettre en œuvre. Ainsi en est-il de la pagination par exemple.

LE SOMMAIRE.

Les Remerciements. P. 1.

Le Sommaire. P. 3.

L’Introduction du Mémento. P. 4.

1°- LE MEMOIRE : POURQUOI ? P. 5.

2°- LE MEMOIRE : « la grille ». P. 7.

3°- LE MEMOIRE : la notice pour la réalisation. P. 8.

4°- MAIS QU’EST-CE QU’UNE PROBLEMATIQUE ? P. 12.

5°- RAPPELS UTILITAIRES. P. 15.

6°- LE MEMOIRE : rappel méthodologique. P. 18.

7°- PETIT MEMO DU RECDACTEUR DE MEMOIRE. P. 21.

LA BIBLIOGRAPHIE. P. 26.

LES ANNEXES. P. 27.

((

L’INTRODUCTION DU MEMENTO.

Ce mémento ne sera jamais vraiment achevé.

Premièrement parce qu’il ne faut pas que ses règles et directives soient figées. Le Mémoire de l’Icsv reflète l’évolution du monde dans lequel nous vivons et a fortiori celles de la mercatique et de la vente, qui sont, elles, en transformations constantes.

Deuxièmement parce qu’il s’abondera lui-même de l’expérience et des enrichissements ou nouvelles options à venir.

Nonobstant, s’il est une étape, il est, je n’en doute pas, tant les élèves le réclament et en ont besoin, un repère et une identification de ce que doit être cet exercice et de ce que nous en attendons.

Comment bien juger un travail, comment être bien jugé pour son travail, s’il n’y pas eu en amont de sa réalisation, un ensemble de règles communes délivrées tant aux élèves qu’à ceux qui vont les encadrer et les évaluer ?

C’est ce que se donne pour objectif cette présentation.

Il faut donc y voir dans son déroulement, plus une volonté d’être pratique, pédagogique et juste, qu’une démarche exhaustive et définitive.

La créativité se doit de pouvoir demeurer présente et à l’initiative des élèves-auteurs.

Indépendamment de ces assertions, nous rappellerons que deux principes restent irréversibles et incontournables.

1°) Le Mémoire de l’Icsv se doit de traiter un cas pratique. Il ne peut pas être totalement généraliste, ni théorique, ce qui est du ressort des travaux engagés dans un mémoire de Master de Recherche.

2°) Le Mémoire de l’Icsv, ne peut se contenter d’être non plus un simple rapport de stage professionnel.

Cela signifie que les notions de problématique, et de problématique concrète a priori, doivent y être très étroitement liées.

Dans ces conditions, une question fondamentale pour l’entreprise, ayant pour ressort précis l’expertise Mercatique et/ou Commerciale, se doit d’en être le centre principal de recherche.

L’intérêt d’une telle étude (Mémoire, comme thèse Professionnelle) est de plonger l’élève au cœur même des sciences de gestion et de leur mécanique, car à travers l’exercice, c’est tout l’apprentissage d’une, deux, voire trois années de champs conceptuels, de théories et de découvertes de multiples cas, qui va se trouver mis en œuvre pratiquement.

C’est en cela que se comprend mieux l’esprit de rigueur qui doit y présider en même temps que l’effort de clarté démonstrative. Ils se traduiront par un exposé intellectuellement et intrinsèquement honnêtes, une utilisation judicieuse des outils et une justification incontestable des limites présentées.

1.- LE MEMOIRE : POURQUOI ?

Du bon usage de l’exercice pour les Maîtres de Mémoire, les Présidents et les élèves.

1.1. L’INTRODUCTION.

(A l’usage des Présidents de soutenances et des Maîtres de mémoires.)

L’exercice, que représente le mémoire, est à l’Icsv d’importance. Effectivement, il permet de mettre en pratique cet adage qui doit présider aux études entreprises par nos élèves au sein de l’institut : « Agir en Homme de pensée, penser en Homme d’action. » Notons à ce propos que le phonème « Homme » s’écrit là avec une majuscule, précisément en regard de toute la considération que nous devons avoir pour nos élèves (femmes comme hommes) et pour le futur professionnel auquel nous les préparons.

Qu’est-ce que cela veut dire et qu’est-ce que cela signifie par rapport à nos objectifs pédagogiques ?

Ceci nous impose dans un premier temps de considérer quelle responsabilité doit nous habiter et donc nous mobiliser pour sa réalisation.

Nous devons y voir et y conjuguer l’effet de trois dimensions.

La première est d’ordre académique. Nous mettons en œuvre à ce stade (tant le titre RNCP, que le Magister, le Master Pro et le Mastére Spécialisé) une recherche, qui est la synthèse de notre enseignement en même temps que sa vitrine (1). Cela requiert de notre part une vigilance totale quant au respect de la normalisation. Ce respect se traduit tant à travers le traitement du fond (la rigueur scientifique, la valeur des références théoriques et les processus intellectuels mis en application) qu’au travers de celui de la forme (l’expression française, la présentation typographique et la charte graphique…). C’est, pour faire court, notre (élèves comme enseignants) atout de légitimité, comme notre mise en évidence de l’excellence que nous visons.

La seconde est d’ordre opérationnel. Rappelons à ce titre que le défi que nous devons relever via ce travail est de produire un résultat totalement irréprochable tant du point de vue de l’académisme que de la pratique. Le mémoire, et son sujet a fortiori,