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Ubifrance

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n’arrivent pas e différence entre l’interaction des aides régional, national et international. En plus des aides d’organismes à l’exportation, on a vu se mettre en place des aides financière (d’avantage régionaux).

Il y a 3 types d’aides financières renommé en France qui sont : FRAEX, ARIMEX et AREX.

• FRAEX :

Le Fonds Régional a pour objet d’aider les entreprises en matière d’exportation, à des moments importants de leur développement, dans un contexte de mutation des techniques et des marchés. La démarche-projet doit s’inscrire dans une démarche raisonnée de développement à l’export, et répondre à un programme voire à une stratégie définie. Cette aide est une subvention plafonnée a 30.000 euro pour des entreprise avec moins de 250 salaries et un chiffre inferieur a 40mille euro.

• ARIMEX

Cette procédure est destinée aux entreprises qui souhaitent s’implanter sur des marchés à fort potentiel, situés hors Union Européenne, en y développant une présence commerciale permanente, porteuse d'exportations supplémentaires de biens et services d'origine française. Ce projet doit s'inscrire dans une stratégie de développement international à moyen et long terme. L’aide est une subvention [pouvant atteindre le taux de 50% des dépenses engagées. Elle est plafonnée à 50.000 euros sur 3 ans.

• AREX

La procédure est simple, rapide et facile à mettre en œuvre. Les demandes sont instruites et gérées par le réseau des Chambres de Commerce et d'Industrie. L’entreprise est implantée en Ile-de-France, elle compte moins de 250 salariés et n'est pas détenue à plus de 25 % par un groupe ne répondant pas à ces critères, son chiffre d'affaire annuel est inférieur à 50 millions € ou son total du bilan annuel est inférieur à 43 millions €, elle justifie de capitaux propres au moins équivalents au montant de l'aide sollicitée et elle est à jour de ses obligations fiscales et sociales. L’AREX vous accompagne tout au long du développement international de votre entreprise.

Ces aides financières sont se suive d’aide régional, national et international:

Les aides régionales :

DRCE : est une aide à l’accompagnement stratégique. Coordonne les actions des organismes publics et parapublics en matière de commerce intérieur. C’est un organisme qui reparti les aides régionales pour le commerce extérieur et qui décide la subvention qu’une entreprise peut avoir dans le cadre d’une embauche ou prospection. Elles assistent les PME dans leurs efforts de développent sur un marche, les aident a recherche des informations et élaborer un diagnostic export, pour ensuite définir une stratégie et obtenir des soutiens financiers.

CCI : partenaires de l’entreprise, les CCI travaillent en étroite collaboration avec le réseau des 156 postes d’expansion économique et des 76 chambres de commerce française a l’étranger pour assurer quotidiennement leurs rôles d ;information de sensibilisation et de mise en relation. Elles collectent et diffusent ainsi des renseignements sur l’environnent réglementaire, l’accès financement, les techniques du commerce extérieur.

COFACE : Experte en analyse de risques, la Compagnie Française d’Assurance pour le Commerce Extérieur, accompagne les sociétés dans la protection, le financement, le contrôle et la gestion de leurs créances commerciales à travers quatre lignes de métiers : Assurance-crédit, l’Affacturage, la Notation et l'Information d’entreprise, la Gestion de créances. Coface aide donc les entreprises à optimiser la gestion de leur Poste clients, c’est-à-dire l’ensemble de leurs créances commerciales qu’elles détiennent tant en France qu’à l’étranger.

Les aides nationales :

UBI France : UBIFRANCE, l'Agence française pour le développement international des entreprises est un établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle de la secrétaire d’État chargée du Commerce extérieur. Il forme avec le réseau international des Missions économiques le dispositif public de soutien des entreprises françaises dans leurs démarches à l’export, quels que soient leur taille et leur secteur d’activité. La mission de ce réseau est d’informer les entreprises sur l’environnement économique, juridique, réglementaire, concurrentiel des différents pays. Il conseille les entreprises dans leur approche des marchés et soutient leurs efforts commerciaux grâce à une gamme de services variée et adaptée à chaque étape de la démarche d’exportation : missions de prospections, salons à l’étranger, rencontres de partenariats ou d’acheteurs, communication dans la presse internationale, organisation du Volontariat International en Entreprise (VIE).

DREE : collecte des informations sur les sujets touchant a l’exportation ; analyse des marches, obstacles tarifaires ou autres, concurrence, circuits commerciaux, financements. Cet organisme suit de prés l’évolution des marches et tire des prévisions stratégiques pour le compte de l’état français.

CNCCEF : regroupe 3400 conseillers. La moitie d’entre eux sont installes dans de sections qui travaillent a l’étranger et constituent des relais pour les entreprises métropolitaines. Ces conseillers sont nommes pour 3 ans et aident bénévolement les pouvoir publics pour la mise en œuvre de la politique du commerce extérieur.

Les aides internationales :

CCIFE : Les Chambres de Commerce et d'Industrie Françaises à l'Étranger sont des associations privées qui regroupent les entreprises françaises établies à l'étranger ainsi que des entreprises locales. Leur mission est de promouvoir l'image de la France hors hexagone. Elles offrent une gamme de services aux entreprises : relations publiques, communication, information, observation du marché, action commerciale, assistance juridique et fiscale…

Missions Economiques : les Missions économiques sont installées à l'étranger. On en compte plus de 170 dans le monde, installées dans plus de 120 pays. En France, elles dépendent du Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et sont chargées de la collecte et de l'analyse des informations sur le marché où elles sont présentes. Elles publient des « notes de conjoncture », c'est-à-dire des études sectorielles diffusées par UBIFRANCE. Elles accompagnent également les exportateurs dans leurs démarches sur place. Leurs principales prestations sont l’évaluation de marche, la prospection personnalisée, la recherche de partenaires locaux, de réglementation, de financement.

Lorsqu’une entreprise a pris la décision de se lancer dans l’aventure de l’exportation, il lui faut avant tout sélectionner le ou les pays susceptibles d’assurer la réussite de l’opération. Le choix devra se limiter dans un premier temps à quelques pays, voire un sel pour une PME, car il vaut mieux concentrer ses efforts. Le choix des pays porteurs se fait par éliminations successives, a la suite d ; études quantitatives et qualitatives de plus en plus approfondies a mesure que le nombre de pays potentiels se réduit.

Pour le domaine de la demande du produit à exporter dans le pays étranger, il faut obtenir des informations sur 4 points principaux :

- Les principales catégories d’acheteurs

- Le prix auquel le consommateur achète ou est susceptible d’acheter (prix psychologique)

- L’importance et la fréquence de l’achat

- L’importance donnée au produit « made in France »

Pour une très grande majorité des entreprises, il n’existe pas de réel prix de marché. Pour définir sa politique de prix, l’entreprise doit tenir compte de la concurrence sans qu’il lui soit pour autant nécessaire de s’ajuster étroitement, c'est-à-dire qu’elle peut jouer sur un avantage de prix, mais elle peut aussi compenser en offrant d’autres facteurs comme la qualité ou le service. En réalité, pour l’entreprise, tout va dépendre de l’importance accordé par l’acheteur à ces différentes variables. Lorsqu’une entreprise veut s’implanter sur un marché étranger, elle doit tenir compte des producteurs et des importateurs locaux qui ont très souvent façonné l’organisation du marché. A partir de là, l’entreprise doit mettre en place une politique d’adaptation. L’entreprise devra s’informer de l’état réel de la concurrence sur le marché ciblé ; cela d’autant plus que l’entreprise, lorsqu’elle aborde un nouveau marché, peut se révéler fragilisée.

Lorsque l’on parle de concurrence, il faut distinguer :

- la concurrence locale, qui peut bénéficier de protection sociale de la part des autorités politiques (ex : quotas)

- la concurrence étrangère se situant dans le pays d’accueil.

L’entreprise doit répondre à 3 types de questions :

- Qui peut être concurrent ?

- Quel est la structure concurrentielle

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