La 1° Guerre Mondiale

sés, ceux de l'empire anglais s'engagent volontairement. Des 1914, les colonies allemandes d'Afrique et d'Asie sont attaquées par des forces franco-britanniques et japonaises, et rapidement occupées.

Des puissance extra-européenne entre aussi dans le conflit: la japon et la chine au coté de l'entente, l'empire ottoman du coté de la Triplice. De plus les stratèges européens organisent des opérations de diversion sur des fronts périphériques: débarquement anglais aux Dardanelles en 1915, offensive au proche orient...

les principale opération ce font sur terre, mais la guerre se déroule aussi sur d'autre terrain d'action. Sur la mer, la flotte britannique, âpre la bataille de Jutland en 1916 au nord du Danemark, bloque la flotte allemande dans les ports et rend efficace le blocus naval. Puis l'Allemagne lance la guerre sous marine en atlantique, et coule en 1915 la paquebot Lusitania, provoquant la mort de 1 200 passagers dont des citoyens américains. La réprobation est générale, particulièrement aux états unis. L'aviation, d'abord employée à des fins de reconnaissance, et ensuite utilisé comme armes de duels aériens, puis sert aux premier bombardements.

C/ la guerre des tranchées: user l'ennemi !!!

de 1914 à 1918, le front occidental est pratiquement immobile, matérialisé par des réseau de tranchées parallèle, protégé par des barbelé et reliées par des boyaux irréguliers. La vie des soldats est rythmé par les montées en premier ligne, et les descentes en deuxième ligne ou les repos à l'arrière du front.

Les stratèges tente de brider l'immobilité de cette guerre d'usure par de vaste offensives. Elles se déroule en Champagne et en Artois en 1915: « je les grignote », dit Joffre. Les allemands. Dirigés par le générale Falkenhayn, ne réussissent pas à « saigner à blanc » l'armée française pendent la longue bataille de Verdun (300 000 morts français contre 250 000 morts allemands). De même, les Britanniques et les français échouent à leur tour sur la somme (600 000 morts alliés, 400 000 morts allemands).

2°un engagement totale des société

les guerres qui durent ne sont pas qu'une affaire de militaires: les états et les sociétés tout entiers sont engagés dans une guerre totale.

A/ la mobilisation des hommes et des esprits: l'état propagandiste

dès le début du conflit, les gouvernements tentent de contrôler les hommes et les esprits. Ils s'agit d'abord de rallier les populations à la cause de la guerre. On fait appel au patriotisme en exaltant des héros de l'histoire national, par l'aviateur allemand le Baron von Richthofen surnommé « le baron rouge » qui possédait à l'époque le plus grand nombre de victoire de duel aérien. Cette adhésion de traduit au Royaume-Unis par l'engagement volontaire de plus d'1,5 millions d'hommes.

la censure stricte de la presse et de la correspondance des soldats, et la diffusion de nouvelle du front contrôlé par l'état major, le « bourrage de crane », doivent empêcher le découragement des populations.

On cherche aussi a démoraliser l'ennemie et à l'affaiblir en appuyant des troubles intérieurs par le biais d'actions indirectes. L'Allemagne soutien la révolte irlandaise, l'entente suscite, avec T.E. Lawrence d'Arabie, la soulèvement arabe contre l'empire ottoman.

B/ la mobilisation des sciences et des techniques

l'équilibre des forces entre les deux camps fait vitre apparaître le fait que la victoire dépendra des capacités d'innovation. Le corps à corps reste exceptionnel. La guerre de position réclame des armements spécifique. Les ingénieurs mettent au point des cannons à longue portée et une artillerie à tir courbe. Les chimistes développent le gaz « moutarde » (ypérite) et l'aéronautique se développe.

De nouvelle armes apparaissent: les mitraillettes, les lance-flammes, les sous marins et les chars à partir de 1916 même si ils ne jouerons un rôle décisif qu'à partir de 1918. en contrepartie, la médecine à dut progresser fasse à des blessure de plus en plus horrible. En France, Marie Curie organise un service de radiologie ambulant.

C/ la mobilisation de l'économie

la guerre économique vise à affaiblie l'adversaire: elle débute par la mise en place d'un blocus autour des empires centraux en 1914. en 1916 un blocus navale asphyxie progressivement leur économie mais frappe aussi la population civiles. L'Allemagne réplique par une guerre sous marine contre les navires de commerce britanniques « pour mettre l'Angleterre à genoux »: début 1917, un tiers des cargos on été coulés.

Par ailleurs, l'organisation de l'économie apparaît nécessaire dès le début du conflit: il faut par exemple produire en masse des barbelés pour les premiers tranchées. Les états instaurent l'économie de guerre. Pour mobiliser les entreprises, l'industriel Rathenau organise en 1916 une office de guerre en Allemagne. En France la production d'acier du bassin de Saint-Etienne est coordonnée par Schneider. La main d'œuvre est également mobilisée avec le retour à l'arrière des ouvriers sidérurgistes, le travaille des femmes et des colonies ainsi que des prisonnier de guerre. En Allemagne la loi ludendrff (1916) rend le travail obligatoire pour tous les hommes de 17 à 60 ans. Pour financer la guerre les états lancent des emprunts auprès de la population et des pays alliés ou augmente l'émission de monnaie.

L'intervention de l'État s'affermit. Il contrôle le commerce extérieur, le taux de change et la répartition des matières premières, et fixe les salaires et les prix. En France l'État contrôle les prix du pain et du charbon et confie à André Citroën le ravitaillement des entreprise. Dans les empires centraux asphyxiés par le blocus le gouvernement organise le ravitaillement des denrées.

3°la victoire durement acquise de l'entente

surmontant la lassitude créée par trois années de guerre, les alliés avec l'appui des états unis, remportent la guerre

A/ des société plongé dans la violence

l'ampleur de la mobilisation au front comme à l'arrière, à donné naissance à une culture de guerre partagée par tous

la brutalisation touche d'abord les combattants. L'atrocité des combattants les blessures occasionnées par les armes nouvelles qui pulvérise les corps... l'hécatombe - Le 1° juillet constitue la journée paroxystique de la guerre avec plus de 700 000 morts britanniques en une seul journée sur un front large de 40 km – génèrent des comportement de plus en plus violents.

Cet état de guerre se répercute sur les civiles dont les condition de vie sont difficiles. Chaque famille est touchées par le deuil. La violence est directe dans les zones occupées: déportation et travaille forcé. Dans l'empire ottoman les Arménien subissent un véritable génocide (1,5 millions de morts) en 1915

l'ensauvagement atteint les esprits. Les intellectuels entretiennent cette culture de guerre, tel le philosophe français H. Bergson qui écrit « la lutte engagée contre l'Allemagne est la lutte même de la civilisation contre la barbarie ». même les enfants sont invités à soutenir les combattants au point que certain s'enrôle en trichant sur leur âge.

B/ 1917, l'année trouble

1917 est marqué par des offensives meurtrières peu efficaces: Les Chemins Des Dames en Champagne, Passchendaele en Belgique, Caporetto en Italie... la lassitude s'étend.

À l'arrière les coalisions politiques ce désagrègent: en France, l'union sacrée est rompue par le retour de socialistes dans l'opposition de fortes personnalités prennent la tête des gouvernements (Clémenceau surnommé « le tigre » en France, Lloyd Georg en grande Bretagne, Orlando en Italie) et les parlements sont moins consultés. Des grèves éclatent dans tout les pays elles aboutissent en Russie à la révolution de Février qui renverse le Tsar.

Au front les mutineries se multiplient. En France elles impliquent 30 000 à 40 000 hommes. Le générale Pétain maîtrise le gouvernement par une répression modérée: 554comdamnations à mort dont 49 exécutées, et une amélioration des conditions de vie des soldats

l'entrée en guerre des états unis le 6 avril 1917 redonne espoir à l'entente. Les Américains d'abord réticents sont indignés par la guerre sous marine et se laissent convaincre par le président Wilson. Mais le débarquement se fait lentement et leurs soldats commandés par le général Pershing sont inexpérimentés.

C/ la victoire de l'entente

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