Otto Dix

nt plus bas. A gauche de l’image un survivant assiste à la scène, visage et regard dissimulés sous son masque. L’arrière plan est occupé par la représentation de ruine: reste de maison écroulées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation de ravage causés par les bombardements.

Sur le volet de droit, ce personnage de sauveur se distingue de tous les soldat représenter sur le triptyque: c’est le seul qui fait face au spectateur et qui avance avec une grand détermination vers le première plan et il est l’unique personnage vivant qui ne porte pas l’uniforme complet du soldat: ni casque, ni masque, ni arme, ce « sauveur » avance a découvert, ne craignant pas l’attaque ennemie et n’étant pas non plus soucieux de se défendre. L’arrière plan présente les fournaise infernale.

Dans la prédelle, le peine inscrit dans ce forma la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif où les soldat semble en paix

Cette composition met en scène la journée d’un soldat, à gauche le matin, au centre la journée, à droit le soir, en bas la nuit.

Second partie: interprétation

La Guerre d’Otto Dix n’a été exposée qu’une seul fois à Berlin en 1938, l’œuvre est ensuite interdite par les autorités nazies, elle a été cachée dans une caisse afin de ne pas être détruite. Aujourd’hui elle est exposé a Dresde, Stadtmuseum dans la galerie Neue Meister. Son courant artistique est la nouvelle objectivité et sa catégorie est l’art visuels.

C’est une œuvre figurative car on reconnait des élément du réel, l’œuvre fait le portrait de divers soldat. Ils sont principalement vue en action, pendant la bataille. Il s’agit donc du portrait en mouvement.

La lumière, on peut remarquer qu’elle provient, dans chaque tableau, de sources différentes. Dans le 1er, à gauche, la lumière vient de la gauche. Dans le panneau central, elle entre par le ciel, en haut à gauche et éclaire une bande oblique. Dans le 3ème panneau, elle semble arriver du bas à droite mais elle est plus vive sur le visage du soldat.

Dans le 3ème panneau l’éclairage guide notre regard de spectateur vers cette partie importante de l’image, peut-être la plus importante pour l’artiste car elle est la seul à présenter une part d’espérance de vie. L’ensemble des lumière forme, dans l’ensemble, une bande lumineuse qui traverse le tableau en déclinant.

La lumière est artificielle-même si les scène se dérouler en extérieur et que sa courbe peut rappeler celle de soleil car les ponts lumineux sont différents. On peut mettre cette « «désorganisation » de la lumière en relation avec le chaos du champ de bataille et de la nature humane qui se perd dans la violence de la guerre. Dans cette œuvre Otto Dix utilise des couleur très sombres et chauds mais toutes sont associées à la mort et à la destruction. Les couleur les plus utilisées sont des nuances de rouge et de marron. Le marron est la couleur dominante (terre, tranchées). Le rouge est utilisé pour représenter le ciel tourmenté sous lequel les soldat part au front, l’amas de viscères ensanglanté et le feu du champ de bataille. L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique mais aussi pour sa valeur symbolique: le rouge symbolise la violence (le sang) et parfois la mort.

Conclusion

La guerre d’Otto Dix est une œuvre que l’on qualifie d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégout de la guerre et le pacifisme qui est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre nous spectateur, de l’horreur et de la bêtise de la guerre.

(art plastique)

Triptyque: œuvre en trois parties

Retable: Dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints. C'est à la Renaissance que le retable peint fait son apparition (il peut également être sculpté).

Prédelle: partie inférieur du tableau

Le triptyque est une œuvre peinte ou sculpté réaliser sur trois tableau dont les volet extérieur se rabatte sur celui du milieux.

Lier à la religions le chiffre 3 représente le père, le fils, le saint esprit (saint-trinité). Retable disposé au dessus des autel. Il est inspiré d’œuvre très célèbre le retable d’Issenheim de Mathias Grünewald et le jardin des délice