Préface Les Fleurs Du Mal

, troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle, qui prend la forme d’une dépendance forte.

Sa liaison avec Jeanne Duval n'empêcha pas Baudelaire de s'éprendre en 1847

de Marie Daubrun (pseudonyme de Marie Bruneau - née en 1827).

Elle jouait "La Belle aux cheveux d'or" au théâtre de la Porte-Saint-Martin. Les yeux

mystérieux de cette actrice de la Gaîté, firent d’elle la nouvelle muse de Baudelaire.

Ils eurent une brève liaison mais elle inspiera les poémes ciel brouillé , le poisson et l irréparable .

De plus à la suite de sa liaison avec Marie Daubrun , Charles Baudelaire entâme une nouvelle liaison avec Madame Sabatier en 1852 . Le vrai nom est en fait Aglaé Savatier. Baudelaire la considera comme 'son ange gardien' et lui adressa de nombreux poèmes. Il cessera de voir Apollonie de Sabatier vers 1862. Au sein du recueil Les Fleurs du Mal, on distingue un cycle « Madame Sabatier », dont les poèmes A une Madone, Tout entière, Que diras-tu ce soir, Confession, Le Flambeau Vivant, Réversibilité, L’Aube Spirituelle et Harmonie du Soir.