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Alma et Jean

Fiche : Alma et Jean. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  21 Avril 2017  •  Fiche  •  423 Mots (2 Pages)  •  861 Vues

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Alma et Jean avait vécu de belles années ensemble, tellement fusionnels, tellement passionnées.Ils en venaient même à se demander s'ils n'avaient pas -quelques fois- délaisser le mondes, et penser seulement sur leur amour; ne serai-ce qu'un jour, une semaine.Mais à cette instant précis tout deux savaient que ces moments passés ensemble ne serait à jamais qu'un souvenir qu'ils emporteraient dans leur tombe, côtes à côtes.Ils auraient voulu ne plus exister ensemble mais la vie en avait décider autrement: Alma avait été atteinte de fièvre au printemps dernier.Depuis elle avait passée ses journées a tousser ou a souffrir de fièvres soudaines.

Alma venait tout juste de passer la cinquantaine, pourtant en bonne santé et de l’énergie à revendre, elle semblait pâle et de faible constitution; mais qu'elle était belle! Elle l'avait d'ailleurs toujours été, Jean ne pouvait supporter de la quitter des yeux, il n'avait jamais vu qu'elle: jamais il n’eut d'yeux pour une autre femme.Et dieu sais que des femmes aussi belle et radieuse qu'Alma il en avait croisé lors de ses représentations.Seulement il aimait cette jeune femme autrefois si joyeuse et souriante et aimable et douce et... Ô que les qualités d'Alma était florissantes, mais à cette instant précis elle n'était plus que l'ombre de celle d'elle-même et dont il c'était tant éprit.Tout ce qu'il pouvait désormais apercevoir: une veille femme,souffrante,apeurée et pourtant las de vivre, à la chevelure argenté parsemée de fil blanc scintillant, au teint délavé par les ans, défraîchi, décharnée, les yeux vide qui partent à la dérive des songes.

Alma se laissait inexplicablement mourir à petit feu; elle ne s'alimentait plus, quoiqu'on lui amène, ne prenait plus soin d'elle ou de ce qui l'entourait.Plus rien ne comptait pour elle et elle se laissait glisser, lentement, vers la fin qui nous attend tous.

Peut-être n'a-t-elle pas réaliser, en tout cas plus qu'à l'ordinaire, que son heure avait sonner et que la Mort se tenait tout près d'elle.Où bien une quinte de toux abominable et un râle dont le bruit aurait fait pâlir n'importe qu'elle supplicié, aurait fini de l'importer dans un silence prenant.Car quand s'en fut fini, personne n'avais été là et personne ne l'avait pleurer ou expliquer la cause de sa mort.Là encore peut-être avait-il juger plus utile de s'affairer à d'autres occupations.Quand à Jean, la simple vu de cette ombre le mettait dans un telle état qu'il n'osait plus entrer dans leur chambre, mais dès qu'on  lui avait annoncer la nouvelle il n'en put plus et à son tour invitât la Mort à l'importer dans un grand bruit d'arme.

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