Heureuse et charmante nuit d’août
Dissertation : Heureuse et charmante nuit d’août. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar nono3458962945 • 31 Décembre 2020 • Dissertation • 1 970 Mots (8 Pages) • 459 Vues
Heureuse et charmante nuit d’aout.
La sombre rue étroite et sinueuse était vide, seul un homme y marchait et quelque rat s’engouffrait dans les égouts à son passage. C’était une nuit chaude et lourde : un orage proche, minuit et demi. L’homme était arrosé à souhait, il rentrait chez son pauvre logis situé à quelque pas d’ici. Il ne pensait qu’a très peu de chose : il se remémorer sa soirée arrosée et se concentrer sur la route pour ne pas s’effondrer. Au loin l’orage commençait à s’enrager et la lune avait disparu. Malgré cet orage proche, un calme froid et inquiétant pesait sur la longue rue. La longue rue faisait de belle courbe de sorte qu’on ne puisse voir le bout. L’homme aborda un court virage et vu un autre tronçon de cette rue. Mais cette fois ci, une silhouette noire se dessina devant lui, à quelques mètres seulement. La silhouette était vêtue d’un long imperméable noir en Dain, et était de dos. Le fêtard se rapprocha prudemment, mais la silhouette ne bougea pas. Puis au fur et à mesure qu’il avançait la silhouette baissait la tête vers la droite d’une manière régulière et inquiétante. La silhouette commença à se retourner et à fixer l’homme dans les yeux. La silhouette sous le halo d’une lampe jaune se révéla être un jeune-homme, presque un adolescent. Il avait un teint pâle et au bout de ses lèvres partaient des petits trains fins et rouges : deux cicatrices : qui lui faisaient un petit sourire. Le jeune homme était vêtu d’un tailleur élégant sous lequel il portait une chemise blanche avec un nœud papillon noir. Alors il mit sa main dans son imperméable et chercha quelque chose. Au moment où il sembla le trouver, puisque sa main s’arrêta de bouger, il se mit à sourire. Il releva sa tête, puis dans un grand geste en montant son bras en l’air il sortit un sabre japonais d’une ultime beauté. Il posa sa deuxième main sur le manche et monta le sabre vers la gauche. Sous les yeux ébahis de l’homme, il avança d’un pas et fit s’abattre la lame sur le genou de l’homme. Dans un craquement atroce l’os du genou se s’explosa et se sectionna dans une explosion de visqueux sang rouge. L’homme tomba à terre juste après son ex-jambe dans un hurlement. L’homme n’arrêta pas de crier pendant qu’une flaque de sang se mélangea à la crasse du sol sale. Alors le jeune homme se plaça et dans une coupe chirurgicale coupa la mâchoire qui explosa dans un atroce craquement. Celle-ci tomba à côtés des yeux du pauvre homme. Il émit un cri étouffé ce qui fit pouffer de rire le jeune-homme. Il resta bloquer durant plusieurs seconde comme choquer et se tu, il se mit à sangloter et leva les bras en joignant les mains pour implorer la pitié de son agresseur. Dans un souffle le sabre trancha les deux poignets de la victime qui laissa échapper une giclée de sang montant au visage du jeune homme. On pouvait distinguer sur les moignons malgré les litres de sang qui s’écoulait l’os, parfaitement sectionné. Il posa sa lame sur la trachée du pauvre homme, tout en souriant, et la fit glissée avec une facilité mais l’arrêta avant de la couper entièrement. Des flots de sang réguliers, puissants et pulsatifs sortirent des artères carotides. La victime à terre lança un regard de terreur au jeune homme en commençant à s’étouffer avec son propre sang. Il posa la pointe de sa lame sur le torse du pauvre homme et transperça le cœur de sa victime. Le tueur pris soin de regarder le dernier regard de l’homme qui expiait en souriant et observa le sang se répandre sur la chemise blanche du mort. Il passa la main dans sa veste, sorti un chiffon bien plié qu’il saisit par un angle et lâcha le reste. Il essuya son visage avec toujours ce petit sourire narquois et posa le chiffon à plat sur son avant-bras gauche. Il fit passer la lame à plat dans un mouvement léger sur son chiffon. Il le replia maintenant qu’il était taché de sang, le rangea puis chercha le fourreau de son sabre et le fit glisser à l’intérieur. Alors il se retourna et se mit à marcher d’un pas léger, les mains dans les poches et se retourna une dernière fois avant de définitivement quitter ce crime qui ferait la une de toutes les journaux.
Il déambula alors un petit moment dans la rue jusqu’à la vue de deux jeunes et jolies femme dos à lui. Elles étaient face à face, devant une porte d’entrée et discutaient gaiement. Il pouvait entendre leurs douces et harmonieuse voix, il s’imagina mainte et mainte situation et issues possible. Il réfléchit en s’approchant à pas léger et déterminé. Puis après un éclair de génie, il mit sa main dans la poche extérieur de sa veste et saisi un couteau avec son étui qu’il retira et rangea. Il déplia la lame d’une sublime beauté, une Damas, un manche en bois sibérien et des finissions en ivoire d’éléphant. Il le frotta sur sa manche et la monta au niveau du coup d’une des femmes. Il passa par le côté droit du coup de celle de dos. La lame commença à appuyer sur la douce peau de cette belle femme. Sous le regard de son ami apeuré, deux parties de chaires se séparèrent laissant s’échapper un flot de sang vif. Sous le cri de son ami, elle s’effondra au sol laissant le sourire du tueur se présenter à l’autre. Celui-ci se jeta sur la femme qui tomba en arrière, dans sa chute il put poser ses genoux sur ses bras qui se cassèrent à l’impact. Il saisit le couteau à deux mains et l’abattu sur la poitrine de la jeune femme. Il répéta l’opération plusieurs fois et à chaque fois du sang s’abattait sur le tueur berçait par le cri qui s’abaissaient en intensité à chaque coup. Après 43 coups de couteau, tous plus violent les uns que les autres, plus aucun bruit ne se fit entendre et la lumière dans les yeux de cette femme s’éteignit : il s’arrêta. Et il eut l’heureuse surprise de constater que la première de ses victimes n’était pas encore morte. Elle suffoquait en s’étouffant dans son sang et regardait la scène d’un œil terrifié. Il la posa délicatement sur le dos et sur son genou et se mit à marmonner une chansonnette enfantine en la fixant dans les yeux. La femme commença à fermer ses paupières. Le tueur saisi son coupe choux dans sa poche et souleva la paupière de sa victime. Puis en un coup circulèrent il coupa les paupières une à une. La victime hurlait tant bien que mal mais ne sortait qu’un son étouffé. Puis le regardais avec un air horrifié. Il posa la lame de son coupe-chou en ivoire sur le coin de sa bouche et commença à monter. Il lui fit donc un petit sourire qui dégoulinait maintenant de sang. Les mains de la belle femme s’accrocher à l’imperméable du jeune homme jusqu’au moment où elle en déchira un bout. Alors il se leva d’un bond, la laissant tomber par terre. Il serra les dents et les poings puis souffla et sourit. Alors dans un bond il sauta sur le crâne de la jeune femme. Puis en s’appuyant avec sa main contre le mur il donna des coups de pied particulièrement violent qui finirent par exploser le crâne de la jeune et joli femme. Une auréole de sang et de cervelle entourait le visage méconnaissable de la femme. Toujours grâce à son chiffon il nettoya sa chaussure, sa chemise, son visage et ses instruments puis repris son chemin.
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