L'efficacité de la fable

« as », « allez » afin de décrire l'action : Le méchant va manger un innocent et puis le gentil va intervenir lors de la fin du déroulement de l'action. Malgré ces quelques points communs, il y a des disparités lors de la leçons évoquait par chaque récit.

Ces trois récits présentes donnent lieu a une leçon différentes. Les textes de Jean de la Fontaine et de Florian qui dont des fables donneront lieu a une moralité tandis que celui de Victor Hugo qui d'ailleurs est un poème nous dévoilera une leçon assez implicite.

La fable de Jean de la Fontaine a pour morale « La raison du plus fort est toujours la meilleure » placée en début de texte ce qui est peu courant. Cette phrase est au présent de vérité générale, avec l’adverbe « toujours », ce qui exprime la véracité de cette morale. Il la justifie ensuite dans son récit. L’auteur veut dire par là que la force et la supériorité l’emportent sur le reste. Les plus faibles se font dominer par les plus puissants.

La fable de Florian est sous entendu dans les vers précédents « Je pleure en ce moment de regret d'avoir manqué l'autre » ce qui donne lieux à « Tel est le remords du méchant ». Cette phrase ne s'adresse pas au crocodile qui lui n'éprouve du regret pour ne pas avoir put manger le second enfant. Cette morale s'adresse donc à tous les méchants en généralité en disant que leur nature reste inéchangeable.

Le poème de Victor Hugo nous laisse face à une leçon présente comme Perrault : elle est visuellement dissociable du texte. Deux leçons peuvent ressortir du texte soit qu'il faut faire preuve d'ingéniosité mais qu'encore une fois le nature reprend au dessus, les aveux de l'Ogre. Ou bien, que l'apparence en fait pas l'être malgré que l'Ogre finisse par manger l'enfant.

Malgré les points communs de ces trois textes sont les deux animaux principaux jouant un rôle précis : Être le gentil ou le méchant. Ainsi que chaque récit nous laisse face à une leçon. Toutes trois étant différentes, cependant, elles pourraient être tournées comme un avertissement aux parents afin qu'ils doivent bien aviser leurs enfants des différents dangers de la nature.