Le Malaise Des Classes Moyennes

de vie inférieur. L’assise sur lequel ils sont peut rapidement être remise en cause.

• L’investissement dans les études n’est plus en corrélation avec la position attendue, le niveau de vie souhaité, ce qui est vécu en termes de régression sentiment de régression sociale. Aujourd’hui ces classes poussent leurs enfants à aller plus loin de la « normale », à avoir des diplômes qui conforteraient une position élevée dans la société mais même avec des diplômes plus élevée que leur parent les jeunes issus de ces classes n’arrivent cependant pas à accéder à la même position que leur parent. L’amplitude de ce phénomène est croissant aujourd’hui ce n’est plus seulement t une impression mais une réalité. Une proportion considérable se sent en régression sociale. La mobilité sociale est beaucoup moins ascendante et beaucoup plus descendante.

• Mais il y a certaine relativité du phénomène de 1980 à 2000. La réalité infragénérationnelle et l’ascension social qui existe est toujours grandissante. Le déclassement est toujours d’actualité surtout en début de carrière mais au cours de l’âge l’adéquation situation professionnelle et donc sociale est en lien avec les acquis scolaires et ses origines sociales. Le déclassement est aussi un enjeu du politique enjeu non mesurable mais qui positionne l’Etat comme protecteur et les individus sont toujours à l’ »écoute des discours promotionnels.

• Les difficultés des classes moyennes

• Les classes moyennes peuvent aussi être confrontées au chômage pendant une période de récession économique et craignent l’impôt. Ils sont aussi toucher par Le cout des affaires courantes qui augmentent diminuant autant leur capacité d’achat accompagner d’un sentiment d’être quelque peu fragilisé. Le désir d’accéder au niveau supérieur est entravé par le ralentissement économique. La bourgeoisie quand à elles restent toujours protégée même dans ces situation

La classe moyenne se sent fragilisée car elle peut aussi se retrouver déclasser à ême si le début est difficile par ils parviennen par la suite à arriver à cce niveau social mais cela est ralenti tout moment mais cela reste néanmoins relatif.Me

Conclusion :

Le rôle de l’Etat

Une mise en place nécessaire de nouvelles réformes répondant au besoin de cette classe intermédiaire qui n’est pas assez « pauvre » pour être aider mais pas toujours assez « aisé » pour s’en sortir.

Un sentiment d’injustice sociale

La peur du déclassement social

Un risque pour le maintient de la cohésion sociale