Les jeunes et les médias

les médias sont très intéressants et importants dans notre société. Ils permettent aux gens de rester au courant de ce qui se passe sur notre planète, mais sont-ils toujours justes et honnêtes avec le contenu qu’ils divulguent à la population? Les adolescents sont un groupe touché par les médias et ils sont souvent jugé par les auditeurs de télévisions et radios. L’image des adolescents que les médias projettent se rapproche-t-elle de la réalité? Je pense que certains médias sont prêts à salir à la réputation de certain groupe d’âge, nationalités, etc. Selon moi, c’est injuste que les médias se permettent de généraliser la situation des adolescents en se basant seulement sur quelques exemples.

Pour débuter, à mon avis certains préjugés véhiculés par les médias à propos des adolescents sont exagérés. Au contraire de la chanson des Fatals Picard, les adolescents ne sont pas tous des voleurs, des dealers, des personnes violentes, des drogués, des fumeurs, des alcooliques, etc. Selon moi, tous ces préjugés ne représentent qu’un petit pourcentage des adolescents. Selon les statistiques, seulement 9,2% des adolescent affirme consommer de la drogue au moins 10 fois par mois, seulement 30% des adolescent de 16-17 ans boivent régulièrement et les adolescents ne représentent que 13% de la criminalité au Québec. Évidemment, les préjugés utilisé par les médias ne sont pas inventés mais ne représentent pas une majorité des adolescents. Les médias sont en quêtes constante de contenue, ce qui n’est pas leur faute car c’est de cette manière qu’ils réussissent à vivre. Mais selon moi, c’est quand même inacceptable de généraliser certain cas et de créer des préjugés faux sur certains groupe de personnes.

En second lieu, le cinquième extrait du film « Entre les murs » ma perturbé. J’était surpris de voir la vision des élèves avec le point de vue de certains professeurs. À mon avis cet extrait très rabaissant car les élèves dans l’extrait sont montrés comme des personnes qui n’avaient rien écouté, pas travaillé et rien retenus durant tout l’année scolaire. Selon moi, c’est encore une fois une minorité des adolescents qui agissent de cette manière. La lâcheté n’est pas un fardeau général qui s’applique à tous les adolescents. Évidemment, il n’y a pas de statistique ou d’étude pour démentir ce préjugé mais je me base sur mon bon sens pour dire que ce préjugé est faux et ne devrait pas représenter l’image que les adolescents dégagent. L’extrait du roman « comme un roman » démontrent un vrai choc culturel entre la génération du professeur et des élèves. Brièvement, le professeur se met à lire une histoire a la classe et les élèves pensent qu’ils ont passé l’âge de lire des histoires, qu’ils n’aiment plus lire, etc. D’après moi, cette réaction est causée