Pourquoi Le Clonage Apparaît Toujours Comme Une Mauvaise Chose Alors Que l'Euthanasie Est De Mieux En Mieux Acceptée ?

e (personnes cherchant a faire une sélection sur les collectivités humaines à partir des lois de la génétique). 25% trouvent ça dangereux du faite que l’on ne connaisse pas encore les conséquences. (Sondages CSA)

J’apporte une nouvelle raison pour être contre cette pratique. Le faite de cloner des personnes peut créer un problème de surpopulation déjà bien présent sur terre. On peut penser que les maladies sont là pour réguler le nombre de personnes sur terre. Sans ça les ressources primaires disparaitraient encore plus rapidement.

Cependant, si un jour on apprenait que quelqu’un qui nous est proche (enfant, parents, frère, sœur, compagnon etc…) était malade et que l’on avait cette possibilité de le sauver de cette façon. On peut imaginer que beaucoup de personnes contre le clonage changeraient d’avis et qu’ils accepteraient cette pratique et ceci malgré notre morale et nos idées.

Les Français sont 43% à se dire "tout à fait favorables" et 44% "plutôt favorables" à "la possibilité pour les personnes atteintes de maladies incurables de demander l'euthanasie". Ils ne sont que 4% à être "plutôt opposés" et 3% à être "tout à fait opposés". 6% se disent "sans opinion". Une opinion autant partagée par les hommes et les femmes qui sont respectivement 86% et 88% à se dire favorables. Si les personnes favorables à l'euthanasie restent largement majoritaires quelque soit leur âge, leur pourcentage décroît cependant pour passer de 92% pour les 18-24% à 87% pour les 25-34 ans et tomber à 79% pour les 65 ans et plus. (D’après un sondage Sofres)

La plupart des sondages montrent que si les personnes étaient dans le cas d’une maladie : grave, incurable et source de grande douleur. Elles aimeraient avoir le choix de pouvoir partir de manière paisible. Il est vrai qu’à partir du moment on nous sommes incapable de quoi que ce soit, que la souffrance est présente au quotidien et qu’en plus nous ne pouvons absolument rien faire pour arrêter cela. On peut penser qu’il est normal qu’on nous laisse prendre la dernière décision de notre vie. De plus l’euthanasie peut prendre plusieurs formes :

• L’euthanasie active, c'est-à-dire l'administration délibérée de substances létales dans l'intention de provoquer la mort, à la demande du malade qui désire mourir, ou sans son consentement, sur décision d'un proche ou du corps médical ;

• L'aide au suicide, où le patient accomplit lui-même l'acte mortel, guidé par un tiers qui lui a auparavant fourni les renseignements et/ou les moyens nécessaires pour se donner la mort ;

• L'euthanasie indirecte, c'est à dire l'administration d'antalgiques dont la conséquence seconde et non recherchée est la mort ;

• L'euthanasie passive, c'est à dire le refus ou l'arrêt d'un traitement nécessaire au maintien de la vie.

Cependant, de lois pour l’euthanasie comporte des risques de dérapages par exemple du a une pression financière à cause du cout des traitements ou pour les plus pauvres qui risque de vouloir mourir plus rapidement. L’établissement hospitalier peut influencer une personne du fait que financièrement pour l’hôpital il coute trop chère (pathologies multiples, soins lourds), en lui disant que l'accélération de l'inévitable allège donc ses charges. Il peut aussi y avoir une prise de décision des proches qui n’agissent pas forcément pour le bien du malade mais plutôt par intérêt (les héritiers peuvent en profiter pour accélérer un héritage). A partir du moment où l’on ouvre la porte à l’euthanasie, elle s’impose comme solution de facilité, moins coûteuse et plus rapide, et on constate que les soins palliatifs sont délaissés.

Le clonage autant que l’euthanasie laisse trop de doutes au jour d’aujourd’hui. Du point de vue de l’euthanasie il est évident que personne ne veut souffrir ou être un poids pour ceux qu’il aime. Mais les risques