SuiteMatin Brun
Discours : SuiteMatin Brun. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar lulu42 • 29 Septembre 2015 • Discours • 579 Mots (3 Pages) • 812 Vues
…Mais arrêtez de frapper si fort, j’arrive. Deux miliciens se trouvaient devant ma porte :
« Bonjour monsieur, nous vous arrêtons pour avoir commis un délit !
- Excusez-moi messieurs ?
-Vous aviez anciennement un chat non brun et selon la loi en vigueur posséder ou avoir possédé un chat ou un chien non brun est une injure à l’état national. » Ces deux miliciens venaient m’arrêter à cause de mon chat exactement comme Charlie ! J’étais angoissé…
« Monsieur, suivez-nous ! »
J’entendais des gens murmurer :
« Mais oui ! C’est encore cette loi qui sanctionne les anciens propriétaires de chiens ou de chat non bruns ! »
Je me retrouvai dans une prison avec mon ami. Une multitude de personnes étaient ici car ils possédaient auparavant des animaux non bruns.
Je paniquai, nous ne savions pas ce qu’il allait nous arriver. Dans ce lieu lugubre, tout était brun, ce qui rendait mal à l’aise presque tout le monde. De plus en plus de personnes remplissaient la prison. Un jour, Charlie et moi eûmes l’idée de nous échapper, mais j’étais craintif…
D’abord, nous avons cherché une sortie à peu près praticable.
Dehors, il y avait un grillage avec un petit trou. Derrière celui-ci se trouvait la maison du garde. Le soir, ayant volé un couteau à la cantine, nous agrandîmes ce trou. Enfin, alors que le garde avait quitté sa maison nous nous introduisîmes dans celle-ci pour prendre les clés de la petite porte que nous avions aperçue en rentrant. Mais un gros chien endormi montait la garde… En essayant de ne pas faire de bruit, nous avons cherché la clé. Celle-ci en notre possession, nous sommes repartis bien sûr sans faire de bruit. Mais on aperçut le garde arriver.
Charlie me dit de vite rentrer, et avec émerveillement nous trouvâmes une porte dans la cuisine pour sortir de cette maudite maison.
Rapidement, nous passâmes la petite issue pour sortir. Enfin dehors, je fus complétement soulagé !
Nous entendîmes les gardes crier : « Deux personnes se sont échappées de leur cellule ! Trouver-les ! » Heureusement, ils nous cherchaient dans la prison alors que nous étions dehors. Une fois sortis, il fallait rapidement se cacher ou partir loin de cet endroit. Pendant toute la nuit, Charlie et moi étions affamés. On se demandait si nous n’allions pas mourir de faim !
Tout d’abord, je pensais retourner chez moi. Mais comme nous avions été arrêtés là-bas, il était nécessaire
...