Économie pour manager
Commentaire de texte : Économie pour manager. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar m_winter • 14 Mars 2021 • Commentaire de texte • 811 Mots (4 Pages) • 478 Vues
Sujet de DST d’Économie pour Managers
Après avoir rappelé dans une première partie toutes les significations et les implications de la rationalité de « l’homme économique » vues dans le cours, vous expliquerez grâce à la lecture des 2 textes joints quels sont les éléments qui remettent en cause le concept d’Homo-economicus aujourd’hui et comment la politique économique en est modifiée (expliquer par exemple comment faire pour augmenter le taux d’épargne) ?
p.taillard@faculty-psbedu.paris
« L’homme économique » est un comportement humain théorique, base du modèle néo-classique en économie. Le modèle néo-classique désigne plusieurs courants économiques qui ont pour but l’étude de la formation des prix, de la production et la distribution des revenus grâce aux mécanismes de l’offre et la demande.
Dans un premier temps nous verront certain éléments du cours, ensuite nous parlerons des deux textes, et enfin nous parlerons de l’impact sur la politique économiques.
« L’homme économique » a une capacité à maximiser sa satisfaction en faisant de son mieux avec ses ressources. Grâce à cela, il maximisera son utilité. L’utilité est la mesure du bien-être ou satisfaction qu’obtient un individu en consomment le bien ou le service. L’utilité est souvent liée au besoin.
Le résultat de l’utilité de tous les individus d’une même société est le bien-être social.
Donc les principaux principes de l’homo-oeconomicus sont :
- La rationalité, avec la motivation du comportement pour la réalisation des objectifs qu’ils se fixent.
-L’optimalité, Si le choix est le meilleur parmi les choix proposé alors il est optimal.
Pour arriver à la rationalité, les gens prennent des décisions en faisant un calcul économique, en comparant le prix et les avantages de cette décision.
Les gens iront pour deux produits identiques vers le produit le moins chère.
Dans la vie, tout est question de choix économiques comme :
- Quelle est la meilleure heure pour se réveiller ?
- Acheter ou non une nouvelle voiture.
- Changer de travail ou non.
Toutes les variations qui peuvent changer le prix et les avantages ce qui changeras la décision du consommateur.
Il y a aussi le coût d’opportunité sur ce que l’on rate. Si on dépense de l’argent dans cela, on en aura moins pour une autre opportunité future ou présente.
En cours, nous avions utilisé l’exemple des frais de scolarité a PSB et en additionnant les salaires que nous avions manqué sur les 5 ans d’études prévu jusqu’à la fin de nos études supérieures.
Les éléments du sujet remettant en cause cette rationalité de « l’homme économique » sont un article issu d’un journal en ligne, Les Echos.fr, écrit par Jean-Marc Vittori le 9 octobre 2017. L’article s’intitulant « Le Nobel à Richard Thaler, le roi de l’économie comportementale », nous relate les travaux de Richard Thaler sur, notamment sur le « biais cognitif », c’est ce qui serait responsable de nos décisions illogiques et irrationnelle.
Le deuxième texte est quant à lui un article issu d’un journal physique nommé Libération. Il a été écrit par la professeure d’économie de l’Harris School of Public Policy de Chicago, Ioana Marinescu, le 12 janvier 2016. Il s’intitule « Requiem pour l’ « Homo economicus ».
Cet article traite, dans sa globalité, de la monté du doute concernant la rationalité de l’homme économique. On y retrouve encore Richard Thaler qui y est cité.
Dans l’article de Vittori, on y apprend que Thaler a fait des expériences telle que le SMART, save more tomorrow, donc épargner plus demain. Les gens ayant choisi la solution facile, c’est-à-dire laisser leurs argents grossir pour eux tout en procrastinant inconsciemment, ce sont vu récompensé par une augmentation concrète de leur épargne-retraite. Cela montre que l’homme économique a dans ce cas à accepter de procrastiner en laissant son argent pour que cette somme grossisse.
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