Description de la déclaration universelle des droits de l'Homme
Compte rendu : Description de la déclaration universelle des droits de l'Homme. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Simon Dister • 8 Octobre 2020 • Compte rendu • 351 Mots (2 Pages) • 573 Vues
EMC
26 août 1789 : déclaration universel des droits de l’Homme.
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La femme représentée a gauche de l’image est une allégorie de la France, elle vient de brisé les chaînes, la France vient d’accéder a la Liberté. La femme de droite est ailée, elle représente la justice, c’est aussi une allégorie. Elle tient un bâton dans sa main droite, c’est la main de justice et montre le texte avec son bras droit. Au milieu il y a le soleil rayonnant qui fait référence au siècle des lumières. Autour du soleil il y a des nuages (obscurité, ignorance) qui s’écarte et le soleil vient les éclairer, le soleil vient les éclairer, les hommes sont éclairer et capable de prendre en compte la DDHC. Le triangle représente la stabilité le côté équilatéral et également 3 comme les trois mots de la devise de la France, 3 aussi comme l’égalité entre clergé, noblesse et tiers état. L’oeuil ouvert dit qu’il faut être vigilant car tout n’est pas acquis pour toujours et tout peut être rapidement perdu.
La DDHC est gravé dans le marbre car c’est quelque chose d’important a conserver. C’est la nouvelle loi fondamentale du nouveau monde. La France qui se crée en 1789 est un nouveau monde qui ne repose plus sur des écrits religieux (les dix commandements de Moïse). Il y a un bonnet phrygien de la Grèce antique, ce bonnet pouvais être porter par l’esclave qui venait d’être affranchi en Grèce, il représente lui aussi la liberté. Le bonnet phrygien est un des symboles des sans culotte. Sous le bonnet phrygien il y a une pique qui est un autre symbole des sans culotte qui dit qu’il va certainement falloir se battre pour protéger la DDHC (comme en 1940 avec les résistants). Sur la déclaration il y a du lière qui symbolise pour la DDHC le caractère inaliénable. Le cercle représente un serpent qui se mord la queue pour dire que cela n’a pas de fin et que ça a toujours exister et existera toujours.
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