Accident industriel dans la port de Beyrouth

                                              Accident industriel dans la port de Beyrouth

1. Beyrouth se situe au proche Orient plus précisément dans le pays du Liban, sur un cap rocheux qui constitue, à égale distance des frontières nord et sud du Liban, un élargissement de la plaine côtière du pays. Ces incidents ont eu lieu sur une partie de la capitale.

1. C’est à cause du stockage du nitrate d’ammonium, un produit chimique dangereux qui était dans de mauvaises conditions que ces explosions qui ont dévasté la ville de Beyrouth ont eut lieu. C’est un alea technologique, ici industriel car je cite « L’accident industriel dévaste une partie de la capitale Libanaise et fait de très nombreuses victimes ».

D’après le document 1, cet accident industriel n’était pas inévitable car le produit chimique a seulement été stocké « sans mesure de précautions » et « sans aucun suivi » ce qui veut dire que si des mesures avaient étaient prises l’accident aurait pu être évité.

1. L’utilisation du verbe « dévasté » est justifiée car c’est « l’une des plus grosses explosions des dernières années , a semé la dévastation dans la capitale Libanaise ». De plus des dégâts humains ont été dénombrés par les secouristes: « 200 morts, 300 000 sans abri et 6 500 blessés »

Par ailleurs, L’ONU annonce des dégâts matériel « 73 00 appartements, 163 écoles et 6 hôpitaux ont été détruits ou endommagés ».

Le pays est en état de crise : « En quel secondes, une chape de deuil et de désespoir est tombée sur Beyrouth, déjà laminée par une crise économique d’une violence jamais vue. »

Enfin, sur les images satellites ont voit que presque toutes les infrastructures ont été détruites et le paysage est dévasté et est presque méconnaissable.

4)Les images satellites sont utiles quand se produit ce type de catastrophe car elles permettent la gestion de la crise en identifiant les infrastructures détruites et en déterminant l’épicentre des explosions . Aussi elle sont très précises et on peut étudier les données sans se  rendre sur place, ce qui pourrait être dangereux.

QUESTION 1 :

D’abord, un risque est mineur ou majeur en fonction de l’intensité du risque combinée au degré d’exposition et de vulnérabilité des enjeux.

Mais les populations ne sont pas toutes vulnérable au risque qui de la même manière car la vulnérabilité varie selon la densité de population, l’action de l’état et des acteurs publics. Elle est aussi plus ou moins forte en fonction du niveau de développement du pays, par exemple les pays les plus pauvres (les PMA), les pays les moins avancés sont le plus touchés. Dans des pays riches, à l’échelle locale, ce sont les quartiers les plus pauvres qui sont encore une fois les plus touchés, par exemple aux Etats-Unis ce sont les populations afro-américaine ou hispanique qui ont était les plus toucher par l’épidémie du Covid-19.

La vulnérabilité dépend de leur capacité de résistance, de prévision,  prévention par l’information et la connaissance et la protection face à un risque, c’est la culture du risque.

Après la catastrophe, il y a ce qu’on appelle la résilience , c’est la capacité a faire un bilan, indemniser, secourir et reconstruire donc s’adapter après une forte perturbation.

Par exemple, la ville de Milas en Turquie a eut besoin de l’aide international et a reçu trois canadairs de l’Espagne et de la Croatie car en effet le pays n’a jamais posséder ses propres bombardiers d’eau mais en emprunte a la Russie, l’Ukraine, l’Azerbaïdjan et l’Iran.

Enfin, on a l’exemple de la ville de Beyrouth au Liban, ou le le bilan humain et matériel a été désastreux : 200 morts, 300 000 sans abri,6 500 blessés, 73 00 appartements, 163 écoles et 6 hôpitaux ont été détruits ou endommagés ; ce qui n’arrange pas le cas de ce pays déjà laminée par une crise économique d’une violence sans précédent.

QUESTION 2 :

Les différents types de pression qui existent sur les ressources :

• L’IDH (indice de développement humain) : indicateur mesurant le niveau de développement d’un pays à partir du PIB par habitant, de l’espérance de vie et du niveau d’éducation et tient en compte la mortalité infantile. Il varie de 0 à 1.

Cet IDH a augmenté partout dans le monde, y compris dans les pays les moins avancés (PMA), les modes de vie ont changé en mieux, le niveau de vie s'est élevé, la population mieux nourrie et mieux soignée a augmenté.

En revanche si ce développement des sociétés est positif pour les humains cela entraine une pression accrue sur les ressources car il y a plus de demande, en lien avec la croissance démographique et avec la croissance économique.

• Energies non renouvelables : énergies issues de sources présentes en quantité limitée énergies fossiles et nucléaire, exemple charbon, gaz et pétrole qui représente plus de la moitié de la consommation mondiale d’énergie mais qui pourtant risque de s’épuisés d’ici quelques temps et sont réparti de manière inégalitaire à l’échelle mondiale. Ces ressources sont sous pression en raison de la plus ou moins forte consommation par habitant et que cela entraîne des conflits liés aux contrôles et à l’appropriation de ces ressources.
• Environnement : cadre de vie des sociétés résultant des interactions entre la nature (le milieu) et les sociétés.

QUESTION 3 :

Les enjeux de la protection de l'environnement sont :

• lutter contre le réchauffement climatique, qui est à pour origine un recours excessif aux énergies fossiles et des pratiques peu respectueuses des milieux comme la déforestation, par exemple la déforestation de la foret amazonienne en raison de l’agriculture et des ses brulis, l’élevage de bovin ou des orpailleurs clandestins à la recherche de métaux rare.

Aussi, le réchauffement climatique peut provoquer des incendies dévastateurs comme par exemple celui de Millas en Turquie.

• Une Transition énergétique et environnementale (ou écologique) : période d’adaptation qui doit conduire à une utilisation des ressources (énergie, eau, etc.) plus rationnelle et respectueuse de l’environnement.

• L’Efficacité énergétique : utilisation de moins d’énergie pour fabriquer le même produit ou obtenir le même service grâce aux progrès techniques et à l’innovation.

• L’Utilisation d’ énergies renouvelables : énergies générées par des processus naturels qui ne s’épuisent pas : énergies éolienne, solaire, hydroélectricité.

pétrole, gaz, charbon

Résilience : capacité d’un individu, d’une activité, d’une société à s'adapter après une forte perturbation.