Anne Frank
Documents Gratuits : Anne Frank. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresS.S. arrêtent les huit clandestins. Dans une sacoche en cuir vidé par Silberbauer se trouvaient des feuilles de papier. Il s’agissait d’une partie du
journal que Miep Gies ramassa et mit sous clef dans son bureau qu’elle confie à Otto Frank lorsque celui-ci seul survivant de la famille revint du camp d’Auschwitz. La famille fut déportée au camp de Westerbork dans l’est des Pays-Bas près de la frontière Allemande puis transportée en direction de Auschwitz ou ils arrivèrent dans la nuit du 5 au 6 septembre 1944. Sa mère mourut le 6 janvier 1944. Ses filles furent transférées à Bergen-Belsen fin octobre, début novembre 1944 ou elles moururent du typhus en février ou en mars 1945.
Résumé du Journal
Anne Frank raconte son histoire du 12 juin 1942 au 1er août 1944. Le jour de son anniversaire, elle reçoit comme cadeau son journal qu’elle commence. Au début elle décrit ses camarades de classe, sa fête d’anniversaire et ses étranges sensations d’écrire un journal à qui elle va se confier comme à l’amie qu’elle n’a pas eut et qu’elle appellera Kitty. « Je vais pouvoir, j’espère, te confier toutes sortes de choses, comme je n’ai encore pu le faire à personne, et j’espère que tu me seras d’un grand soutien. » (12 juin 1942). Elle décide alors de raconter sa vie et celle de sa famille et de son exile d’Allemagne d’où ils étaient originaires, pour échapper à Hitler et ses persécutions au peuple juif pendant la deuxième guerre mondiale. Au début elle menait une vie normale et racontait comment elle tombe amoureuse de Peter Schiff et la fin de son année scolaire. Peut après elle écrit comment ils se son trouvés en situation de clandestinité après que sa sœur Margot reçut une convocation de la S.S ; Comment ils ont du abandonner leur maison et avec l’aide d’amis ils ont pu aménager dans une cachette arrangée d’avance ( l’Annexe) se trouvant dans le bureau de son père et qui allait être partagé avec les époux Van Daan et leur fils Peter ; comment les amis de son père ont été d’une aide et d’une solidarité pour les sauvés et les maintenir en contacte avec le monde extérieur. Elle connaît la difficulté de cohabitation de l’Annexe entre les deux familles même si des liens de solidarité et d’amitié les rapprochent et deviennent indispensables à leur survie en gardant toujours les règles de la convivialité crée par le groupe. Elle se sent très différente de sa sœur qui est à ses yeux un idéal de perfection toujours plus proche de sa mère qui est incapable de comprendre ses inspirations et ses émotions mais il y a aussi de grands moments de complicité et de rapprochement entre elles . « En rouvrant mon journal après un an et demi, je suis très étonnée de voir à quel point j’étais une vrai godiche…Mes sautes d’humeur, mes jugements sur Margot, Maman et papa, je les comprends aussi parfaitement que si je les avait écrits hier…J’ai vraiment honte… » (22 janvier 1944) . Elle écrit tous les détails de la vie quotidienne à l’intérieur et élargit son champ de vision en s’instruisant, en s’informant sur les événements du dehors : les bombardements, les souffrances, les malheurs, de même que la politique des autres pays. Deux aspects apparaissant bien marqué dans le journal. De façon naturelle et spontanée nous fait connaître une personne qui parfois désarmée, profondément découragée ne perd pas pour autant ni ses espoirs, ni son esprit combatif qu’elle retrouve auprès de son père, remarquant et jugent les petites manies et les faiblesses de chacun qu’elle ironise et critique.
Elle nous montre ses moments de panique suite à de terribles bombardements ou sa colère par la difficulté de vivre enfermé et sous la menace d’être découverts. Pendant tout le long de son récit, on connaît ses moments de souffrances, ses souvenirs, ses conflits et ses crises de colère, ainsi que les moments de tendresse, chagrin et d’amour qu’elle a partagé avec Peter son amoureux avec qui malgré les ennuis elle trouva le bonheur et la complicité, même si au début elle cachait ses sentiments, mais ils vécurent une grande histoire d’amour. C’est avec Peter qu’elle prendra d’avantage conscience de la force et de l’énergie qu’il y a en elle, en projetant ses ambitions pour faire de l’écriture son futur métier. « L’amour, qu’est-ce que l’amour ? Je crois que l’amour est quelque chose qui au fond ne se laisse pas traduire en mots. L’amour, c’est comprend re quelqu’un, tenir à quelqu’un ,partager bonheur et malheur avec lui. Et l’amour, c’est physique en fait partie tôt ou tard, on a partagé quelque chose, on a donné et on a reçu, et ce que l’on soit marié ou non, que l’on ait un enfant ou non. Que l’on ait perdu son honneur, peu importe, si l’on est sûr d’avoir à côté de soi pour le reste de sa vie quelqu’un qui vous comprenne et que l’on n’ait à partager avec personne ! »(2 mars 1944) . Anne trouve dans l’écriture un grand réconfort. Cette occupation la distrait et la soulage. Elle lui a permit à mieux supporter les circonstances en lui donnant la possibilité de s’isoler et de prendre du recul. Son journal, constitué de lettres ne faisant pas plus de quatre pages a été écrit pour la dernière fois le 1er août 1944 trois jours avant son arrestation par la S.S.et sa déportation au camps de concentration.
PHOTO DU VRAI JOURNAL D’ANNE FRANK
PERSONNAGES IMPORTANTS
Anne Frank : Auteur du journal. C’est le narrateur .
Otto Frank : Père d’Anne et de Margot. Allemand d’origine juive qui a
essayer de sauver sa famille du régime antisémite Hitlérien en faisant construire dans les locaux de son bureau l’Annexe. Il a été envoyé au camps de Auschwitz. Seul survivant il fut libéré par les russes le 27 janvier 1945. Il arrive le 3 juin à Amsterdam. Il récupère des mains de Miep le journal et exauce le souhait d’Anne en le faisant publier. Il meurt le 19 août 1980. Margot Frank : Sœur d’Anne, de trois ans plus âgée. De caractère
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