Brouillon
Note de Recherches : Brouillon. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirese sur le site du projet, un responsable de Caminex a estimé à 2 milliards de tonnes, le potentiel de cet autre gisement de fer. Une évolution des statistiques de 600 millions de tonnes qui repose sur les résultats obtenus de nouveaux forages sur le site de recherche. Ces estimations actuelles, soutient-on à Caminex, pourraient même littéralement exploser au regard de l’étendue du site restant à explorer. En effet, apprend-on du rapport des experts de ce projet, le potentiel actuellement mis en évidence ne concerne que 5,9 Km sur un total de 20 Km sur lesquels les appareils de recherche ont pu détecter des signaux indiquant la présence potentielle de métaux ferreux dans le sous-sol. C’est certainement fort de cela que, les responsables de Caminex envisagent d’investir à nouveau 12 millions de dollars [environ 6 milliards de Fcfa] dans les opérations de recherche ; ce qui pourrait finalement conduire à la confirmation d’un potentiel estimée à 4 milliards de tonnes de minerai de fer. Dans cette hypothèse, Nkout deviendrait alors le premier gisement de fer du Cameroun, devant Mballam.
Cette éventualité fait déjà saliver les responsables d’Affero Mining, maison mère de Caminex. En effet, le 27 octobre dernier à Perth en Australie, au cours d’un dîner d’affaires organisé en marge du sommet du Commonwealth, le patron exécutif de ce groupe anglais, Luis da Silva, a indiqué au Premier ministre camerounais, Philémon Yang, que «Les 1,4 milliards de tonnes de fer déjà annoncés à Nkout ne représentent qu’un début, la vision d’Afferro au Cameroun étant de devenir une source de référence mondiale pour l’industrie de fer».
En attendant que le coeur de l’industrie mondiale du fer batte dans la localité de Nkout au Cameroun, le projet de recherche que conduit Caminex a déjà produit quelques 300 emplois directs. Lesquels emplois se compteront par milliers, souligne un responsable de Caminex, dès que va débuter la phase d’exploitation du fer de Nkout, prévue dans 5 ou 7 ans. Le gisement, lui, ne devrait s’épuiser, apprend-on, qu’au bout de 50 à 70 années d’exploitation.
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LUTTE CONTRE LE TERRORISME INTERNATIONAL SUR INTERNET |
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La coopération policière, une nécessité |
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Publié le 23/11/2011 | 01H17 GMT par Chérif FAYE |
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En collaboration avec la République Fédérale d’Allemagne, le Centre Africain d’Etudes et de Recherche sur le Terrorisme (CAERT) a lancé depuis hier lundi 21 novembre 2011 à Dakar les travaux de l’atelier sur la «Coopération Policière dans le domaine du terrorisme International et du contre terrorisme, en analysant l’Internet », qui se poursuivra jusqu’au 25 novembre prochain. Les experts et les participants au séminaire s’accordent à la nécessité d’une coopération policière efficace pour venir à bout de la cybercriminalité et du cyberterrorisme. |
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Le séminaire sur «Coopération Policière dans le domaine du terrorisme International et du contre terrorisme, en analysant l’Internet » est ouvert hier lundi, 21 novembre 2011 à Dakar. Il se poursuivra jusqu’au vendredi 25 novembre prochain par des échanges sur la cybercriminalité et le cyberterrorisme. Il a surtout été question au lancement des travaux de la nécessité d’une coopération policière pour venir à bout de ces phénomènes qui sont en train de semer le désordre et la désolation dans le monde. En procédant à l’ouverture du séminaire, au nom du Ministre des Affaires Etrangères du Sénégal, l’Ambassadeur Mamadou Ndiaye a signalé que « le thème retenu ne manque pas d’intérêt avec l’ampleur sans cesse grandissante de la cybercriminalité, qui appliquée à l’extrémisme religieux prend une toute autre envergure ».Etant convaincu que « le seul dessein des extrémistes est de semer le désordre, la désolation et la terreur sous le couvert de la religion, il a signalé qu’il importe à tous les pays épris de paix l’impérieux devoir de coopérer pour lutter efficacement contre toute forme de terrorisme ». Il a ainsi a tenu à révéler que « le Sénégal, en ce qui le concerne, s’est très tôt engagé pour cette cause légitime de lutte contre le terrorisme ». Mais il estime qu’avec « un engagement solidaire, il est bien possible de venir à bout de ce phénomène qui, selon lui, si on ne prend garde pourrait s’installer dans la sous-région ».Dr Liesse Boukra, Directeur Général Adjoint du CAERT, a pour sa part signalé que pour assurer sa présence sur les autoroutes de l’information qui est synonyme d’un pouvoir de manipulation et d’une capacité de circulation de capitaux, il est véritablement important, dit-il, « de définir les notions de criminalités et de cyber terrorisme, d’examiner les moyens d’action dont disposent les cyber criminels, d’apporter une attention soutenue aux actions de la diffusion technologique et de la formation, et d’aborder enfin les mesures à prendre pour construire une défense efficace des réseaux des pays concernés ».L’expert allemand Thomas Bendiek, Chef de la délégation des experts Allemands, venus du BKA de la République Fédérale d’Allemagne, a signalé que l’Internet est une bonne opportunité, même constitue un moyen de nuisance qu’utilisent les criminels. Ce caractère criminel de l’usage de l’Internet fait que le monde entier est appelé à coopérer et à s’unir pour lutter de manière efficace contre ce phénomène. |
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La pression internationale s'accentue sur l'Iran, Téhéran n'est pas "inquiet"
LEMONDE.FR | 22.11.11 | 06h58 • Mis à jour le 22.11.11 | 15h56
Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, visite le site d'enrichissement d'uranium de Natanz, le 8 avril 2008.AP
L'administration américaine a imposé de nouvelles sanctions à l'Iran en raison des ambitions nucléaires de celui-ci, frappant en particulier les secteurs bancaire et pétrolier, et a mis en garde tous ceux de par le monde qui font des affaires avec ce pays. "L'Iran a choisi la voie de l'isolement international", a affirmé le président Barack Obama, rappelant qu'en 2009, au tout début de son mandat, il avait invité Téhéran au dialogue. Il a ajouté que Washington avait identifié "la totalité du secteur bancaire iranien, y compris la banque centrale, comme présentant une menace pour les gouvernements ou les institutions financières faisant des affaires avec les établissements bancaires iraniens".
De son côté, le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, a indiqué que son ministère avait désigné formellement l'Iran comme une "source d'inquiétude majeure en matière de blanchiment". Conformément à la loi Patriot Act votée peu de temps après les attentats du 11 septembre 2011, cette mesure ouvre la voie à d'éventuelles sanctions des Etats-Unis contre les banques qui traitent avec l'Iran, par l'intermédiaire de banques iraniennes ou de la banque centrale du pays.
Un décret de la Maison Blanche durcit les mesures de rétorsion contre les personnes morales ou physiques apportant "sciemment" un soutien au développement des ressources pétrolières et du secteur pétrochimique en Iran. Le décret s'attaque directement aux deux premières sources de revenu de l'Iran, la vente de brut et de produits de la chimie du pétrole.
"AUCUNE INQUIÉTUDE"
"Les institutions financières dans le monde devraient réfléchir à deux fois aux risques qu'il y a à faire des affaires avec l'Iran", a déclaré Timothy Geithner, accompagné au département d'Etat par Hilary Clinton.REUTERS/HYUNGWON KANG
L'Iran a dénoncé ces sanctions. "Ces mesures sont condamnées par notre peuple, elles n'auront pas d'impact et seront vaines", a déclaré Ramin Mehmanparast, porte-parole du ministère des affaires étrangères, qualifiant cette annonce de propagande. Le ministère des affaires étrangères russe a lui aussi jugé, ces nouvelles sanctions américaines "inacceptables et contraires au droit international", rapporte l'agence Interfax.
La France a de son côté proposé lundi à l'Allemagne, au Canada, aux Etats-Unis, au Japon, et au Royaume-Uni notamment de geler "dès à présent" les avoirs de la banque centrale iranienne et d'interrompre les achats de pétrole à ce pays pour convaincre Téhéran de renoncer à son programme nucléaire militaire présumé.
Des sources diplomatiques ont confié, mardi 22 novembre, que l'Union européenne envisageait de geler les avoirs d'environ deux cents personnes et sociétés supplémentaires dans le cadre d'un renforcement de ses sanctions à l'encontre
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