Certains ne prennent plus le temps de lire

des premiers auteurs à mêler aventure, science-fiction, et fantastique, dont l’un de ses romans d’une extraordinaire créativité : le tour du monde en quatre-vingts jours.

La littérature miroir de la société au XIXe siècle, met en scène sur fond historique, des personnages

de tous les milieux et de toutes les classes sociales. En créant ses personnages, le romancier exprime sa propre vision de l’homme en mettant en évidence la dépendance liant les individus à une période évènement ou marquant la société Parisienne. Victor Hugo « Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action ( les misérables ).Guy de Maupassant « le monde est aux forts. Il faut être fort. Il faut être au-dessus de tout » ( bel ami ).

Les romans littéraires ( classiques ou contemporains ) dont l’écriture nous transmet ce que d’autres

hommes ont pensé, peuvent nous aider à former notre propre jugement sur la vie, sur divers

comportements du monde qui nous entoure, car une œuvre est d’autant plus belle quand elle

s’accorde avec le genre humain.

CONCLUSION :

Les visions du monde et les représentations de l’homme varient en fonction des époques et des idéologies. La culture qui change à chaque génération, véhicule avec elle des références qui la singularise.

Pourtant, la lecture, d’utilité publique, peut avoir une influence essentielle sur les comportements, les valeurs et les normes sociales : liberté, égalité, fraternité. C’est un idéal propre à une société qui impose ses règles.

Lire demeure la richesse de la vie intellectuelle et pour cela, les ouvrages sont là, à portée de main; le livre tient au creux de la paume, c’est un miroir, une machine à remonter le temps , une porte ouverte sur l’autre, qui permet d’exercer une liberté qui ne nous est pas accordée dans d’autres domaines. On peut alors regretter que la lecture ne soit plus un privilège.