FASCISME ET GUERRES DE 1914 À 1945

• FASCISME ET GUERRES DE 1914 À 1945

Quelle influence le fascisme et les guerres ont-ils eu l’un sur l’autre de 1914 à 1945 ?

I. Une politique née en réaction à la première guerre mondiale

- Un climat favorisant la naissance du fascisme

A la fin de la ww1, l’Italie est en vraie crise politique : instabilités ministérielles (nouveau 1er ministre tt les 3 mois 1919-1920) -> vrai agitation révolutionnaire. De plus crise économique : chômage, passage econ de guerre a econ de paix difficile,… Promesses de l’état pas tenues : les paysans occupent sauvagement les terres et il y a des grèves violentes dans le villes. Mise en place de la milice ouvrière, agitation de l’extrême droite. L’Italie, toujours pas réunifiée n’est pas satisfaite non plus, ce qui popularise le discours nationaliste de Mussolini.

- Une nouvelle façon de penser la politique.

Cette situation politique permet au discours de Mussolini de se faire entendre. Il loue l’exaltation d’une Italie renvoyant à la Rome antique avec le symbole du faisceau. Il porte un discours politique à la fois à droite (alliance avec les grandes org patronales) et a gauche (reformes socialistes ) . cherche une réunification du pays et prennent comme ennemis principaux les communistes.

- arrivée au pouvoir par la force

prise du pouvoir dans un contexte de création d’une guerre civile fasdistes # communistes. Popularisation soudaine du parti après la crise de 1922. S’en suit une grande marche sur Rome des squadres de Mussolini pour impressionner la population. Demande a VE du pouvoir par la force. Engagement du parti dans des actions violentes, batailles de rues et organisations de grèves, sur lesquelles l’état ferme les yeux. Mussolini est voté président du conseil la même année par les chambres, après le discours du bivouac dans lequel Mussolini menace de pouvoir faire pire.

II. Un régime mis à l’épreuve pendant la WW2

- construction d’une culture de guerre

Squadres= anciens combattants,

Préparation de l’homme a la guerre : Le fascisme veut un homme actif, engagé dans l’action de toute son énergie : il le veut viril et conscient des difficultés existantes, prêt à les affronter. Il conçoit la vie comme une lutte et pense qu’il revient à l’homme de créer une vie digne de lui, trouvant en lui même le moyen (physique, moral, intellectuel) pour l’édifier.

Entraînement de la population a la guerre

- politique