HISTOIRE ET LES MEMOIRES

En effet, le roman ce clôt avec la punition de Mme de Merteuil quand elle dit : « le sort de madame de Merteuil parait enfin remplit »  . On voit donc qu'elle atteint une déchéance complète qui provoque un peu de pitié et de haine, on le voit très bien à la ligne 3 ou elle dit : «  l'indignation qu'elle mérite et la pitié qu'elle inspire »  c'est donc une antithèse.

Il y a une déchéance physique car elle est malade est par la suite devenu hideuse, «  elle est donc devenu laide, petite vérole, affreusement défigurée » son caractère caché et mauvais a donc été dévoilé et visible par tout le monde, alors qu'avant elle savait se montrer respectable «  la maladie l'avait retournée, à présent son âme était sur sa figure »

On a donc une déchéance physique, mais également social.. Comme nous le montre cette gradation «  dépenses, dommages et intérêts, restitution des fruits, tout «  cela montre que Volanges est contente du malheur de Merteuil sachant qu'elle perd son statut social et toute sa fortune.

Elle s'exile seule puisqu'elle est même abandonné par ses anciens fidèles domestiques.. elle est donc délaissé : «  aucun d'eux n'a voulu la suivre »   Le sort de Merteuil est pire que la mort car elle montre son infidélité, ce mets donc en place un espèces de châtiments divin punissant les libertins. On remarque également que c'est Volanges qui sort victorieuses, c'est donc les personnages vertueux qui sortent vainqueur. En effet on le voit très bien à la ligne 51 «  Adieu «  Volanges est la dernière à écrire ce qui pousse à réfléchir sur le faites que les « pieuses » sorte triomphantes.

On peut peut-être penser que cette lettre pourrait présenté une fin «  moralisatrice »  

On se rend compte que les personnages dit vertueux  ne suivent pas du tout la morale chrétienne. Ces personnages sont donc peu courageux car ils diffusent des rumeurs en utilisant des formes impersonnelles. comme on le voit à la ligne 7 «  On m'a dit » .

On a constaté donc, que Laclos nous présente dans cette lettre une Mme de Volanges qui semble être contente de la laideur qui a prit Merteuil et de toute la fortune qu’elle vient de  perdre. La ligne 42 à 45 définissent plutôt bien l'expression de « morale », en effet Volanges dénonce le libertinage dans ce dénouemen,c'est donc une fin moralisatrice  qui fait pensé à la fin d'une fable.

A la ligne 42-43 le titre est repris ce qui donne l'impression que le texte a été écrit pour mettre en garde des liaisons dangereuses. Cette lettre est donc LA morale du roman et donc le dénouement pourrait être vu comme ambigu et moralisateur pour toutes les mères et les filles.

En conclusion on assiste à la déchéance totale des libertins et plus particulierement de Mme de Merteuil, mais en même temps certains indices nous pousse à penser que les personnages dit «  vertueux » comme Volanges ne sont pas très chrétien alors que les personnages libertins sont plus «  humain », on le remarque très bien dans la lettre 81 ou Merteuil explique pourquoi elle fait tout ça, et quand Valmont tombe enfin amoureux de Tourvel