Histoire, Georges Sand
Étude de cas : Histoire, Georges Sand. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Keren08 • 5 Mai 2020 • Étude de cas • 966 Mots (4 Pages) • 1 437 Vues
HISTOIRE :
QUESTIONS :
1) les positions de George Sand à propos de la place du peuple en politique sont:
Les habitants des campagnes sont bien plus en retrait que ceux des villes qu'ils n'ont pas le même niveau d'information mais que pour autant les frères des villes se battent également pour les frères des campagnes. George Sand dit explicitement que "le peuple n'est pas politique" elle sous-entend que le peuple est novice en politique c'est nouveau pour le peuple!
Elle dit à juste titre que dans cette nouveauté le peuple va tendre au socialisme et pour cause le point de départ est le sentiment de son droit et de ses besoins.
2) les façons dont George Sand s’engage dans la vie politique sont les suivantes :
Elle publie des articles politiques et des reportages de terrain sur les grands événements populaires parisiens, elle écrit dans le Bulletin de la République française d’Alexandre Ledru‑Rollin (ministre de l'intérieur), qui est publié quotidiennement. C’est également une femme engagé pour les femmes pour la défense des droits de la femme et de leur participation à la vie démocratique.
3) la position sociale de George Sand et la façon dont celle‑ci influence sa vision politique :
Elle est engagée, attentive à la vie des campagnes et de ses habitants, issue d'une petite ville, on suppose que sa classe sociale se situe entre l'aristocratie et une classe ouvrière elle a une vision, ce qui lui confère une vision plus juste des inégalités sociales et elle porte ses combats et ses engagements vers une politique plus sociale, plus juste entre les citoyens, elle veut défendre la cause du peuple ! Elle veut insuffler au peuple les valeurs de la république et qu'il prenne part entière à la vie politique du pays. Sa vision politique est influencée par son milieu social entremêlé de classes sociales différentes entre ville et campagne et on note une réelle volonté à concilier la république avec des valeurs plus sociales pour répondre aux attentes du peuple. On note un véritable engagement à la cause du peuple.L’influence de sa vision politique et de son engagement laissent à penser qu’elle a dû connaitre dans sa jeunesse des injustices sociales, qui lui donne une envie farouche de se battre pour l’égalité et le peuple.
PARCOURS 2 :
Célèbre écrivaine liée à d’autres grands artistes de la première moitié du XIXe siècle, George Sand, de son vrai nom Amantine Aurore Dupin, publie à partir des années 1840 des textes d’inspiration socialiste où elle condamne la misère. Habitant Nohant, une petite ville du Berry, elle eut pour père Maurice Dupin qui servit avec distinction sous la République et sous l'Empire, qui mourut en 1808. Elle est particulièrement attentive à la vie des campagnes et de ses habitants. Après la révolution de 1848, elle s’engage aux côtés des radicaux et des socialistes pour défendre le projet d’une république sociale.
nous nous demanderons donc Comment George Sand s’engage dans l’expérience démocratique de 1848.
Nous étudierons donc dans un premier temps la position social de celle ci ainsi que sa vision politique puis dans un second temps les actions mené pour son engagement démocratique.
Dès 1836, George Sand prend des positions sociales et politiques avancées qu’elle fait passer dans des romans comme Consuelo (1842). Il est alors important de préciser qu’à partir du document 1 nous pouvons comprendre que les personnes de son entourages sont des artistes et non des politiciens. Alors que la liberté de la presse est en plein essor, George Sand participe de bien des manières à l’effervescence politique. En 1844, elle fonde le journal L’Eclaireur de l’Indre qui prend très vite un aspect politique, participe au début de la deuxième République aux nouveaux journaux républicains comme le Bulletin de la République, la Cause du peuple et la Vraie République. Elle affirme sa prise de position politique en s’impliquant fortement dans certains journaux. Dans La ville noire (1860) elle prône donc un socialisme utopique.
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