Le Calife et l’empereur aux IX et Xe siècle
Étude de cas : Le Calife et l’empereur aux IX et Xe siècle. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar ninnin91 • 21 Juin 2022 • Étude de cas • 959 Mots (4 Pages) • 373 Vues
Le monde arabomusulman incarné par le Calife abbasside qui exerce le pouvoir depuis Bagdad. Le calife est commandeur des croyants, c’est l’autorité suprême du monde musulmans. Mustafa Kemal, fondateur de la Turquie moderne, abolit le Califat.
Le pouvoir dans le monde musulmans ne se conçoit pas sans le rôle de la religion. Chez les byzantins, le Basileus n’est pas le chef de l’Eglise, il y a un patriarche.
Le monde byzantin, l’empire romain de … cet empire survit jusqu’au XVe siècle. L’orient Méditerranéen demeure unifier et se différencie de l’Occident par une longue maturation de l’organisation politique. Donc l’unité du monde byzantin est fondamentalement politique. Alors que le seul ciment commun à l’Occident chrétien c’est le fait religieux. L’Eglise chrétienne d’orient connaît différentes crises. C’est le basileus qui par son autorité assure le maintien de l’unité. Au sein de l’empire byzantin il peut y avoir des différences religieuses mais l’autorité du Basileus s’applique à tous. Ce Basileus rappelle les empereurs romains, des chefs politiques. Dans l’empire romain il faut se rappeler qu’il y a un culte réservé à l’empereur. Le Basileus se croit alors au-dessus du commun des mortels. La déification de l’empereur à été supprimée puisqu’elle n’est pas cohérente avec le christianisme. Reste l’idée que l’empereur a une mission divine, c’est Dieu qui guide ses actions. On a donc une vision théologique. Le Basileus est donc nommé par la volonté divine, s’il échoue c’est une manifestation de la volonté divine, si un autre fait un coup d’état c’est la volonté divine. La Basilique Sainte Sophie est un lieu central du pouvoir byzantin.
Les juifs sont présents et tolérés mais la religion est un critère d’intégration. On ne force pas à la conversion mais pour être intégré vaut mieux se convertir.
La religion est un critère d’intégration dans l’état
Diaspora associées dans les 3 monde au phénomène de ghetto, leur présence est acceptée mais sans plus
Lorsqu’un individu paye un impôt il est accepté
1/ Le Basileus au IXe et Xe siècle
Progressivement cette fonction de Basileus devient héréditaire même si pour prendre ses fonctions il faut qu’il soit choisi par l’armée et acclamé par le peuple. Le christianisme empêche d’accorder au Basileus un caractère sacré. Reste que finalement s’impose une approche théologique. Sa nomination est censée se faire par la volonté divine et le cœur de son pouvoir se traduit dans l’architecture par la basilique sainte Sophie. De fait l’empereur siège au cœur de la basilique. Le pouvoir politique et religieux sont alors associées à l’architecture. Le Basileus est considéré comme le chef de la chrétienté. Dans l’empire byzantin, les prêtres sont considérés comme les fonctionnaires d’une religion d’Etat. Dans la mesure où l’empereur domine la hiérarchie religieuse, l'on parle de césaropapisme. On retrouve là ce caractère universel, de par cette conception du pouvoir tous chrétiens peut et doit être intégré dans l’empire. Un cérémonial est omniprésent, dans la mesure où un empereur, Constantin VII l'a formalisé. Les ambassadeurs étrangers sont reçus dans des salles d’audience. La disposition même des personnes qui côtoient l’empereur est codifiée. Un condition sacré et temporel extrêmement forte que l’on retrouve dans le monde musulman.
2/ Les Califes aux IX et Xe siècle
On parle de dynastie. La dynastie omeyyade qui a dominé le monde musulman
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