Doit-on voir dans les œuvres Sido suivi de Les vrilles de la vignes uniquement comme un monde ordinaire ?

n’appartient à aucun mouvement littéraire. DE plus, dans son livre « Les vrilles de la vigne » sortit en 1908, elle évoque sa relation amoureuse avec une femme, or à cette époque l’homosexualité était interdite par la loi. Mais aussi dans cette ouvrage, Colette parle principalement des moments de sa vie ordinaire de jeune adulte. Ce recueil est constitué de de pleins de court textes exprimant des actions de la vie quotidienne banales. Cependant, le livre « Sido » sortis en 1930, de cette même autrice raconte aussi des moments assez simpliste de sa vie. Ce livre parle de son enfance mais surtout de ses proches tels que sa mère, son père et ses frères et sœurs. Nous pouvons remarquer que dans ses deux œuvres, Colette évoque principalement un monde ordinaire. Pourtant d’après elle « Choisir, noter ce qui fut marquant, garder l’insolite, éliminer le banal, ce n’est pas mon affaire, puisque la plupart du temps, c’est l’ordinaire qui me pique et me vivifie », l’écrivaine explique donc que pour elle l’ordinaire à une place plus importante dans ses textes que les moments unique. Or l’écrivaine honore ce monde qui parait assez surprenant pour un monde simpliste. Pourtant, à première vue il est difficile de parler uniquement d’un univers simpliste dans plusieurs ouvrages. Nous allons donc essayer de na pas seulement voir l’œuvre comme un recueil simpliste. Nous allons être amené à nous demander si :

Doit-on voir dans les œuvres Sido suivi de Les vrilles de la vignes uniquement comme un monde ordinaire ?

Dans un premier temps nous allons voir que Colette évoque principalement des actions ordinaires. Dans un second temps nous verrons pourquoi l’écrivaine en parle de manière extraordinaire ? Dans un troisième temps nous allons étudier Comment l’autrice souhaite valoriser la chance de vivre.

Nous allons commencer à étudier les actions ordinaires évoquées par Colette

Nous allons tous d’abord voir les moments banales dans les textes de Sidonie Colette. Donc nous pouvons nous demander de quelle types d’actions ordinaires ? Colette évoque principalement des moments avec ses proches qui sont assez banales et ne parle pas d’autres moments simplistes lorsqu’elle est seul ou même à son lieu de travail. En effet, dans ses recueils « Sido » et « Les vrilles de la vigne » l’écrivaine ne parle pas d’autres personnes que sa famille, ses amours, ses amis ou même des connaissances. Il n’y a pas un moment ou elle sort de son monde simpliste. Mais aussi, le fait de ne raconter que des moments de la vie quotidienne montre à quel point Colette apporte une importance à ce qui est ordinaire puisque si elle ne le voyait uniquement comme un monde faussement ordinaire, elle n’exprimerait