En faisant allusion à deux œuvres, la première « Ravage », écrite par « René Barjavel » (1943) et la deuxième une œuvre cinématographique « Snowpiecer » réalisée par « Bang Daan-Hoo » (2013). Ces deux œuvres critiquent le progrès techn

Tout le monde se pose une fois ou l’autre les questions suivantes; jusqu’à où les progrès technologiques vont aller ? Que risque de se passer après une apocalypse ? Ce sont deux questions que chacun se pose au cours de sa vie. En faisant allusion à deux œuvres, la première « Ravage », écrite par « René Barjavel » (1943) et la deuxième une œuvre cinématographique «  Snowpiecer » réalisée par «  Bang Daan-Hoo » (2013). Ces deux œuvres critiquent le progrès technologique. Tout d’abord, le train est utilisé dans les deux œuvres comme moyen de critique et le revirement de la technologie contre l’homme, qui sont deux façons utilisées pour critiquer la technologie dans les deux œuvres.

Première partie :  Le train, une avancée technologique très peu critiquer :

Tout au long de l’œuvre « Ravage » par « René Barjavel », il est possible de remarquer des critiques de la technologie. Tout d’abord, la peur du noir, dans le contexte de « Ravage » c’est un problème avec le disjoncteur de la maison : « … » et d’un seul coup, comme une pierre, le noir tomba. Le poste, les lumières du plafond tout, à la fois, s’éteignit « … » (P89). Dans ce passage, on remarque une critique face à la dépendance de l’électricité. De plus, dans l’œuvre de « René Barjavel »,  il y’a une métaphore qui est faite pour critiquer la société face à la dépendance de la technologie : « … » Pourtant entrainé à une grande vitesse, sans secousses, sans autre bruit « … » Chaque fois qu’il prenait le train ou l’avion, il éprouvait la même impression d’abdiquer une partie de sa volonté et de sa force d’homme  « .. » Autour de lui se jouait des forces si considérables qu’il se sentait bien plutôt leur proie, qu’une potence cédât, que la poutre craquât, qu’ y pourrait-il, qu’y pourrait même l’ingénieur qui conduisait la machine ? « … » (P.16-17). D’après cette accumulation de mots, elle énumère les risques qui peuvent arriver avec le train, cette accumulation consiste à critiquer le train en tant technologie. Dans le film « snowpiercer », on retrouve une critique de la technologie en utilisant le train comme métaphore cependant ça véhicule un message différent. Dans « Snowpiecer » ça démontre une inégalité sociale, à la tête du train on retrouve les plus riches tandis que dans le fond les pauvres. En bref, dans les deux œuvres le train est mis à l’avant comme étant une critique de la technologie et de la société moderne.

Deuxième Partie : L’homme versus la technologie qui en sortira vainqueur ?

        Au-delà de la critique de la technologie utilisée avec le train, il y’a aussi le retournement de la technologie contre l’homme. Dans l’œuvre de « René Barjavel », il y’a un retournement de la technologie contre l’homme, en effet, après une grave panne d’électricité la population est état d’alerte, il se retrouvait à avoir des problèmes avec leurs vêtements : « Des gens, abandonnés par leurs vêtements à fermeture magnétique « … » (p91).  Ce genre de situation atteint pleinement la population, il est possible d’observer une hyperbole qui caractérise la gravité de cette situation : « La réalité quotidienne avait disparu, laissant la place à l’absurde « … » (p91).  En effet, la situation est tellement grave, sans technologie il n’y plus de quotidien. Il est possible d’observer une certaine similarité du retournement de la technologie contre l’homme dans l’œuvre cinématographique « snowpicer », en effet, dans le film, l’homme retourne à une ère glaciaire due un excès de technologie, dans le cas du film c’est l’utilisation du « cw-17 » qui permettait de contrer le réchauffement climatique. En bref, le retournement de la technologie contre l’homme consiste à critiquer le progrès de la technologie.