Karl Jaspers

1.le thème du texte est l’histoire de la philosophie. On parle de l’origine de la philosophie.

Depuis 2 millénaires de cela, apparue la philosophie. Nous pouvons dire que les origines de la philosophie sont : l’étonnement, le doute et le bouleversement. Par rapport à l’étonnement, Platon a affirmé que l’étonnement est la mère de la philosophie .Pour Aristote l’homme s’étonne sur les questions concernant l’astrologie et certains principes de l’univers .On est conscient de son inconscience et on prend conscience de son ignorance. C’est l’étonnement qui poussa les philosophes a chercher l’essence de l’être. Pour le doute, le philosophe doit être dans une quête de recherche permanente de la vérité. Sans le doute, il n’y a pas de philosophie véritable. Lorsqu’on est obsédé par la connaissance des objets dans le monde, on ne se soucie plus de son bien être ou de son bonheur. Il y’a des situations fondamentales dans notre vie que nous ne pouvons ni dépasser, ni transformer appelées situations-limites

3. L’origine de la philosophie réside sur le doute l’étonnement et réside dans la faculté de faire de l’expérience des situations limites. Sans ça on n’atteindrait jamais le but de la philosophie

La philosophie nait de l’étonnement.  En effet l’animal ne s’étonne pas.  On pourrait dire que "rien ne l’étonne », alors que l’étonnement est le propre de l’homme. Il a la capacité de penser. Il se remet tout le temps en question.

Je suis d’accord avec l’auteur

4. Selon Karl Jaspers les origines de la philosophie sont

Le doute : Sans le doute il n’y a pas de philosophie véritable. Ce qui est important c’est de voir comment et où le doute lui-même permet de conquérir le fondement d’une certitude.

L’étonnement est le fait d’être à la recherche de connaissances. En s’étonnant on prend connaissance de son ignorance et on cherche à savoir, mais seulement pour savoir «et non pour contenter quelque exigence ordinaire.

Le bouleversement : Il y’a des situations fondamentales dans notre vie que nous ne pouvons pas dépasser ni les transformer. Elles sont appelées situations-limites

Quand on est absorbé par la connaissance des objets dans le monde, on ne pense plus à son bien être ou à ses préoccupations mais aux nouvelles connaissances qu’on va acquérir.