L'Avare de Molière

L’Avare de Molière

1. a) Comme le dis si bien le titre, le propos de l’avare semble être bien entendu sur le péché capital de l’avarice, présenté par le billet du comique. Molière veut exprimer tout haut ce que les gens pensent tout bas à travers ses pièces de théâtre en démontrant ce vice de la société, tout en dédramatisant la critique grâce aux rires. Les thèmes principaux relié à cette pièce sont l’argent et ses mauvaises influences ainsi que l’égoïsme démesuré. Dans ce cas-ci, le personnage crée pour représenter tant d’erreurs humaines est Harpagon, un personnage que l’on pointe du doigt du début jusqu’à la fin, afin de rire de ses péripéties.

b) Les personnages principaux sont Harpagon, le père avare en quête d’argent qui possède deux enfants. Sa fille Élise et son fils Cléante sont ses deux enfants qui manigancent leurs choix de mariages dans le dos de leur père. Cléante est un jeune homme fou amoureux et prêt à tout pour la femme qu’il aime, Marianne, qui est une jeune femme de bonne figure, dont les sentiments sont réciproques, mais qui malheureusement, est promise à Harpagon. Pour ce qui est d’Élise, son fâcheux père ne lui fais pas de cadeaux non-plus. Il la promet à un vieille homme mur tandis qu’elle aime déjà le valet de son père, Valère. Ce jeune homme très futé, fera de tout pour charmer son maitre Harpagon, dans le but d’avoir la main de sa fille. Harpagon possède aussi un courtier, Maitre Simon, une servante, Dame Claude ainsi qu’un cuisiner et cocher, Maitre Jacques. Sans oublier le cher valet de Cléante, la Flèche, qui servira fidèlement son Maitre jusqu’à la fin. En parlant de fin c’est à ce moment que l’on découvre l’existence d’Anselme, le père disparu de Marianne et de Valère, qui ne recherche que le bien pour ses enfants. Pour finir l’entremetteuse de l’histoire, celle à qui on peut remercier d’avoir mi de l’action, Frosine. Une femme dans la quarantaine qui sait manipuler à sa guise afin d’avoir ce qu’elle veut, de l’argent.

c) Les particularités de ce texte dramatiques sont les tirades ainsi que la répétition des répliques. Il est arrivé plus d’une fois qu’Harpagon fasse de très longues répliques. C’était les seuls moments où l’on voyait Harpagon avoir de l’émotion pour quoi que ce soit, car dès qu’il retournait avec sa famille, l’emprise de son avarice prenait le dessus. Cela a créé un effet de proximité entre ce personnage et le spectateur. Pour ce qui est de la répétition des répliques, cela est une particularité très voyante, car j’ai à plusieurs reprises vu cet élément être utiliser. Par exemple, Harpagon en parlant à Élise et Valère, ne cessait de répéter les mots « sans dot », lorsque que Frosine lui annonça que Marianne était une perle rare qui ne couterai rien à marier.

d) Personnellement ce texte ne m’a pas plus. Je n’ai pas eu du plaisir à l’entendre en tant que spectatrice, le jeu des acteurs étaient d’autant plus intéressant que ce qu’ils disaient. Peut-être est-ce l’époque où cette pièce a été écrite ? J’ai trouvé le choix des mots assez lourd, encore une fois c’est probablement une question d’époque. Pour ce qui est du contenu comique où des procédés utilisés pour faire rire, je n’ai pas saisi l’humour que Molière à voulut créer. Cette histoire est certes un classique connut, mais je ne le lirais que pour ma culture générale et certainement pas sur la