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Le Lac, Alphonse de Lamartine

Fiche de lecture : Le Lac, Alphonse de Lamartine. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  12 Septembre 2017  •  Fiche de lecture  •  1 616 Mots (7 Pages)  •  2 211 Vues

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Plan détaillé

INTRODUCTION

  • Sujet amené :
  • Époque : 19e siècle
  • Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine
  • Titre de l’œuvre/de l’extrait : « Le lac … » extrait des Méditations poétiques
  • Date et lieu de publication : 1820, France
  • Courant, genre et forme littéraires : romantisme, genre poétique, roman élégie
  • Lien avec le contexte : mort de Julie Charles en 1818
  • Sujet posé : Démontrer que le poème « Le lac », de Lamartine, est une méditation sur la puissance destructrice du temps.
  • Sujet divisé :
  • L’auto-interrogation du poète
  •  La plainte du poète envers le temps
  •  La supplication du poète envers la nature

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

I.        (1e argument principal) Le poète s’interroge lui-même

A.        (1er argument secondaire) Le poète se parle à lui

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Système de dénonciation : 1er pers. Sing.

a)        « je viens » (v.9), « m’asseoir » (v.9), « m’est » (v.21), « je demande » (v.31), « m’échappe » (v.32), « Je dis » (v.33)

→         Le poète, parle de lui.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Pronom indéfini

a)        « t’en souvient-il » (v.15), « On n’entendait » (v.16), « n’en pourrons-nous » (v.43), « qu’on entend » (v.65), « l’on (X2) » (v.65), « Tout dise » (v.66)

→         Le poète ne parle pas à personne, en particulier.

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Le poète, raconte son histoire.

B.        (2e argument secondaire) Le poète s’auto-questionne

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Phrase interrogatives

a)        « ? » (v.6, 15, 42, 43, 48 et 50)

→         Le poète se pose des questions.

2.        (2e preuve : (procédé + citation + commentaire) Pronom personnel dans les phrases interrogatives.

a)        « t’en souvient-il? » (v.15), « n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ? » (v.43) et « nous rendrez-vous ces extases sublimes que vous nous ravissez? » (v.49)

→         Le poète pose des questions qui le concerne.

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le poète pose des questions sur lui-même

C.I. : (conclusion de la partie I) Le poète parle seul et s’interroge sur lui-même.

II.        (2er argument principal) Le poète blâme le temps

A.        (1er argument secondaire) Le poète et sa bienaimée s’adressent directement au temps

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Système d’énonciation pron. pers. 1re pers. Plur ainsi que le Pron. pers. 2e pers. plur.

a)        « nous voguions » (v. 15), « laissez-nous » (v. 25), « Hâtons-nous » (v. 36) = aimée + poète. 1re pers. Plur.

b)        (si nécessaire) « et vous » (v. 23), « vous implorent » (v. 27), « faites-vous » (v. 48), « vous engloutissez » (v. 48), « nous rendrez-vous » (v. 49), « vous nous ravissez » (v. 50) = temps + toutes ses manifestations

→        Voix du couple qui dénonce le temps.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Voc. Péjoratif

a)        « Temps jaloux ! » (v. 39), « heure fugitive » (v. 35 ), « néant » (v. 47), « sombres abimes » (v. 47).

→        Souligne la perception négative que le poète a du temps.

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Démontre que le poète porte un mauvais regard sur le temps.

B.        (2e argument secondaire) Le temps est une puissance inexorable

1.         (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Vaste champ lexical du temps et de ses divisions temporelles

a)        « jour(s) » (v. 6, 26, 29), « âges » (v. 5), « année » (v. 7), « soir » (v. 15), « temps » (v. 23, 32, 37, 39, 52), « heure(s) » (v. 23 et 35), « rapides » (v. 25), etc.

→         Souligne l’omniprésence du temps

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Participes passés + adverbes

a)        « toujours poussés » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « en vain » (v. 31), « passés pour jamais » (v. 44), « tout entiers perdus » (v. 44)

→         Traduit l’impuissance ou la soumission de l’homme devant la fuite du temps

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Démontre que le temps et plus dominateur que l’homme

C.II. : (conclusion de la partie II) Démontre la colère du poète et de sa bienaimée face à leurs impuissance face aux éléments puissant du temps.

III.        (3e argument principal) Le poète se tourne vers la nature conservatrice

A.        (1er argument secondaire) Le poète s’adresse directement à la nature

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Système d’énonciation : − Pron. pers. 2e pers. sing. − Pron. pers. 2e pers. plur.

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