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Le Roman français du 19e siècle

Dissertation : Le Roman français du 19e siècle. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  20 Mai 2019  •  Dissertation  •  1 005 Mots (5 Pages)  •  878 Vues

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French 421

Le Roman français du 19e siècle

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Devoir No 1 :

Ce devoir vaut 10% de la note finale

À partir de votre lecture des trois leçons précédentes, identifier les éléments romanesques de François le Champi, en d’autres mots, à votre avis, pourquoi cet ouvrage passe-t-il pour un roman ?  (750 mots ou plus)

  • Toute composition doit comporter obligatoirement une introduction, un développement et une conclusion.
  • La qualité de votre travail sera jugée sur le contenu (70%) et sur la langue (30%).
  • Consultez votre tuteur / tutrice pour d’autres instructions que lui ou elle voudrait ajouter.

                                                                                                                                                   

François le Champi est une œuvre qui a été écrite au 19ème siècle par Georges Sand. Cette œuvre est considérée par certain comme roman. Pour vérifier cela, il faudrait commencer par s’assurer que tous les éléments romanesques qui font qu’une œuvre passe pour un roman soient compris dans cette œuvre qui est « François le Champi ».

Les thèmes principaux d’un roman sont : le champiage, l’amour, le mariage, la religion et les limites du féminisme.

Cette œuvre raconte l’histoire d’un champi « enfant abandonné par ses parents » qui finit par se marier à sa bienfaitrice Madeleine, la fermière. L’oeuvre se déroule en trois parties : l’enfance de françois auprès de Madeleine et la Zabelle et qui se passe à Cormouer, la nouvelle vie de François à Aigurande après qu’il fut chasser par Cadet Blanchet et finalement le retour de François à Aigurande afin de sauver sa bienfaitrice de la misère après la mort de cadet Blanchet et les maniganges de la Sévère pour accaparer les biens laissés à Madeleine et son enfant Jeannot par Cadet Blanchet et ruiner cette dernière.

Les thèmes abordés par George Sand dans cette œuvre sont :

Dans un premier lieu « le champiage » à travers le petit garçon qui était pris en charge par la Zabelle contre une somme modique qu’une agence gouvernementale lui verse chaque mois. Dés sa rencontre avec Madeleine au début de l’œuvre « Un matin que Madeleine Blanchet …François le champi » (p37-39 chapitre I) on sut que l’enfant était naïf et innocent et ne savait même pas pourquoi on l’appelle le champi « champi fait référence aux enfants retrouvés dans le champ »

Dans un deuxième lieu la présence de « l’amour » tout au long de l’œuvre sous ses différentes formes : l’amour maternelle que Madeleine éprouve à François et à son fils Jeannot au début de l’histoire, l’amour d’argent qu’on remarque lorsque la Zabelle voulut se débarrasser de François quand Mère Blanchet lui donna quelques sous en contrepartie et aussi vis-à-vis de la relation que la Sévère entretien avec Cadet Blanchet dans l’intention de le dépourvoir de ses biens et enfin l’amour d’une épouse à son mari échangé par François et Madeleine à la fin de l’œuvre.

Dans un troisième lieu « le mariage » : à la fin du roman, Jeannette Vertaud, la fille du meunier d’Aigurande qui avait accueillit François quand il avait été chassé de Cormouer, se maria avec un bon sujet qui lui ressemble. François quant à lui se maria avec Madeleine « …là finit l’histoire…je n’en vis depuis » (L10-19 p.196). Sans oublier le mariage de la méchante Mariette Blanchet, sœur du défunt Cadet Blanchet, avec un homme riche du même caractère qu’elle.

Dans un quatrième lieu le rôle de « la religion » tout à travers l’œuvre de George Sand évoqué lorsque par exemple Madeleine lisait les prières dans un coin du verger au lieu de venir discuter avec Madame Cadet mère « Elle la méprisait…bien aise de mourir » (L4-13 p.51), la première communion de François quand il fut en âge « Quand François fut en âge…n’était hardi avec personne » (L19-25 p.66) et enfin sans oublier le rôle du curé d’Aigurande dans la fortune de François en lui transmettant la somme de 4000 francs de sa mère biologique «Quand François fut rendu à la cure…du don que voici » (L3-16 p.123).

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