Le chômage
Dissertation : Le chômage. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar le7.ducr7 • 30 Octobre 2017 • Dissertation • 2 596 Mots (11 Pages) • 1 097 Vues
chapitre 1 : Le chômage
Intro : Les mots du chômage
étymologie :
latin commare « se reposer petit
grec Kamma « Chaleur brulante »
définition : Le chômage est la situation d’une personne faisant partie de la population active a la recherche d’un emplois.
Chômage frictionnelle :
Chômage de longue durée :
Chômage partiel :
Chômage des jeunes :
Halo de chomage : Ce qui est autour du chômage, les individus qui ont un temps de travail très réduits, entre l’inactivité total et le chômage tel qu’il est définie.
Quel sont les théories avance pour expliquer le chomage ?
Le marché du travail :
Ce n’est pas un marché comme les autres, même si dans les grandes lignes il y a beaucoup de point commun.
Le marché du travail est un marché conflictuel et juridiquement encadrer. Sa spécificité est que de tout temps c’est le seul marché qui a fait l’objet d’une intervention de l’état.
Au 18eme, le droit du travail explose. Il y a une libération du travail, et des mesures de mises en place. Plus de droit du travail, pas le droit de manifester, interdiction des syndicats. Ce qui entraine des révoltes et des émeutes. De nombreux conflit entre travailleurs et entrepreneur, et capitaliste. C’est le seul marché dont l’histoire a fait l’objet de conflit violent.
Code du travail : Imposer la réduction de la durée du travail, au moins un jours de repos par semaine. Le code de travail agis principalement sur l’offre de travail. Autorisation des coalitions, le droit de grève devient un vote constitutionnelle. Dans certain pays un salaire minimum ainsi qu’un âge minimum pour travaillez.
En France c’est le seul marché ou tellement il y a de conflit, que il donne lieux a des statistique international comparer. (combien de jour de grève…)
Il y a une représentation économique controversé. C’est avec ce marché qu’il vont rendre comte de la conflictualité.
Théorie de Adam Smith :
Dés le 18eme les économiste classique (Adam Smith le premier), vont reconnaitre que le marché du travail n’est pas un marché comme un autre, il vont critiquer ce marché. Selon eux, c’est seulement un rapport social e domination. Adam Smith explique que le capitaliste et le travail sont dépendant l’un de l’autre, mais que le capitaliste est moins dépendant du travailleur ce qui entraine le rapport de force. Le travailleurs vend son travail. Les capitaliste sont ceux qui possède les entreprises. Le capitaliste a besoin des travailleurs. Celui qui a du capital engage des gens, celui qui n’en a pas devient le travailleur. Cela est inégale ou asymétrique. Car il y a un salaire maximum et non minimum, si il fait grève le travailleur prend des risque énorme car il n’a plus de revenue, alors que le capitaliste, si sont entreprise s’arrête 1 semaine ou 2 celui si a encore des revenues. C’est donc une dépendance inégale.
Il y a un économiste avant Marx qui a dénoncer les inégalité du marché du travail, Sismondi. Il dénonce les condition de travail et le maintient dans la pauvreté du travailleurs. Il dénonce le rapport de force. Et explique les crises de surproduction. Les capitaliste produise trop car il y a la naissance du prolétariat, les travailleurs sont très pauvres et exploiter. Les capitaliste sur-investisse mais il y a trop peu de personne qui peuvent consommer car les travailleurs sont trop pauvre, cela a donc créer une situation de surproduction.
C’est le premier économiste a demander une véritable intervention de l’Etat en demander es lois social pour essayer de lutter contre ce rapport de force.
Selon Marx la relation entre l’offre et la demande n’est pas du tout une relation égalitaire mais un rapport de domination. Il y des gens qui ont du capital et d’autre qui ont la force du travail. Les travailleurs sont obliger de ce faire employer a des conditions qui sont fixer par les capitalistes.
Le modele néoclassique de référence :
Le marché du travail est un marché comme un autre, il y a une offre et une demande, un prix d’équilibre. Le marché du travaille est l’équilibre de l’offre et de la demande. Selon la théorie, l’offre et le travaille.
La théorie de l’offre du travail :
Offre de travail et optimisation du temps : l’arbitrage travail/loisir. Effet richesse et effet de substitution. De manière général il y a une offre de travail qui est croissante. Consiste a optimiser son temps. L’offre de travail est croisante avec le salaire puis devient décroissante avec la combinaisons de deux effets. L’effet richesse est le fait que le travail soit plus rémunérer, lorsque l’offre travaille augmente (le prix du travail) il devient alors plus intéressant de travailler. C’est pour cela que l’offre est de manière général croissante. Lorsque l’effet richesse augmente, ont devient plus riche ont peux donc ce payer plus de loisir.
La théorie de la demande de travail : La courbe de productivité marginal. Est décroissante de manière général.
(Voir courbe - W/P chômage, offre, salaire effectif, demande)
Le chômage est l’écart entre l’offre est la demande. Le point d’équilibre N s’obtient tout seul, car le marcher se régule tout seul entre les offreurs et les demandeurs. Il ne peut pas avoir de chômage car le individus réagisse au prix si le marché se régulerais tout seul. Dans cette représentation, le chômage est un problème de flexibilité du prix du travail. En théorie le marché marche comme ça.
L’équilibre du marché du travail est ses distorsions : La confrontation de l’O et la demande de travail détermine l’équilibre un prix du travail = taux de salaire réel et un volume de travail jugés optimaux : Quantités de travail demandées par entreprise sont exactement égales a celle offertes par l’ensemble des individus souhaitant travailler (au taux de salaire d’équilibre). Par conséquent, le chômage est « volontaire » tout ceux qui ne veulent pas travailler au taux de salaire en vigueur. La flexibilité du prix du travail suffit a assurer l’équilibre.
Si le chômage persiste c’est que le prix n’est pas libre de fluctuer. Raison communément avancées ? Rôle néfaste des syndicats et plus généralement dénonciation de l’intervention de l’état qui créer des obstacles, des rigidités sur le prix du travail (salaire minimum, prestation chômages…).
Les critiques de Keynes : Keynes analyse les fondements néoclassiques du marché du travail. Il en accepte la théorie de la demande de travail fondée sur la productivité marginale mais rejette en revanche celle de l’offre.
Les individus ne sont a même d’optimiser leur choix d’offre de travail en raison d’une imperfection de l’information : la notion « d’illusion monétaire » aussi appelé « illusion nominal » Le individus dans leurs choix économique s’intéresse plus sur les valeurs nominal, les individus n’anticipe pas forcement l’évolution des prix et leur pouvoir d’achats et ne prenne pas en compte l’évolution des prix.
Le volume globale de travail engagé ne pouvant correspondre aux offres optimales des individus, Keynes le déduit de la demande effective globale de biens anticipée par les entrepreneurs. Il n’y a donc pas pour Keynes e marché du travail en tant que tel ou se fixerait le niveau d’emploi d’équilibre. Le niveau d’emploi dépend directement de la demande effective antiquité par les entrepreneurs.
La vision Keynésienne du chômage :
Le chômage est un problème d’ordre macroéconomique et non microéconomique. A cause de l’incertitude radical qui frappe le monde économique, une situation de sous emploi peut perdurer en cas d’anticipations pessimistes de la part des entrepreneurs. Le chômage est dont dit « Involontaire » dans le sens ou même ceux qui souhaiteraient travailler au taux de salaire d’équilibre ne trouverons pas forcement d’emploi.
Le chômage ne va pas forcement se résorber de lui-même par les seules forces du marché. Le système n’est pas autogéré. On aboutit a ce que Keynes appelle un « équilibre de sous-emploi ». Il ne suffit pas d’abaisser le cout du travail (ou de réduire les allocations chômage) pour rééquilibrer l’offre et la demande de travail. Une intervention extérieure nécessaire.
Pour lutter contre le chômage, des politiques budgétaire (en augmentant les dépenses publique et/ou en diminuant les impôts des ménages on peut soutenir la demande) et monétaire expansionnistes (en diminuant les taux d’intérêt on stimule l’investissement) sont nécessaire afin de restaurer la confiance des entreprises.
Les efforts d’amélioration du modèle néoclassique
La remise en cause de certaines hypothèses :
Idée : Si les conclusions sont peu conformes à la réalité, alors il faut revoir les hypothèses, les rendre plus réalistes et voir les conséquences qui en découlent. Ces nouvelles analyses micro-économique du marché du travail proposent des explications au chômage persistant par le biais d’une identification des rigidités endogènes au fonctionnement du marché.
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