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Le lac, Alphonse de la Martine

Commentaire d'oeuvre : Le lac, Alphonse de la Martine. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  22 Juin 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  867 Mots (4 Pages)  •  1 306 Vues

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Anne Lee Trudel

Vendredi, 11 mai 2018

DEVOIR 2 – LE LAC

Plan détaillé

INTRODUCTION

  • Sujet amené 
  • Époque : 19e siècle
  • Nom de l’auteur : Alphonse de la Martine
  • Titre de l’œuvre/de l’extrait : Le lac, 10e du recueil des Méditations poétiques
  • Date et lieu de publication : 1820, France
  • Courant, genre et forme littéraire : poétique, longue plainte amoureuse
  • *** Lien avec le contexte (historique, littéraire) :
  • Inspiré de son amour pour Julie-Charles
  • La perte de la femme qu’il aimait, Julie-Charles
  • Composé au bord du lac Bourget, où ils se sont rencontrés
  • Tristesse due à la fuite du temps
  • Sujet posé

Démontrer que Lamartine, dans son poème « Le lac », dénonce la puissance du temps et que celui-ci demande à la nature d’en contrer ses effets dévastateurs.

  • Sujet divisé
  • Le poème blâme le temps
  • Celui-ci se tourne vers la nature afin de conserver le souvenir de ses jours heureux

DÉVELOPPEMENT

  1. LE POÈTE BLÂME LE TEMPS
  1. Lamartine apostrophe le temps.
  1. Fausses interrogations
  1. « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges - Jeter l’acre un seul jour ? » (v.5-6)
  2. « Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? » (v.48)
  • Traduit la colère que le poète a envers le temps.
  1. Vocabulaire qui est défavorable au temps
  1. « Temps jaloux » (v.39)
  2. « Heures fugitives » (v.35)
  3. « Sombres abîmes » (v.47)
  • Démontrent la perception négative que le poète a du temps.

C.A : Le poète se plaint constamment du temps, qui file et efface et fait sombrer dans l’oubli les jours heureux passés avec sa bienaimée Julie-Charles.

  1. Le temps est d’une puissance cruelle.
  1. Addition d’adverbes + participes passés
  1. « Toujours poussés » (v.3)
  2. « Emportés sans retour » (v.4)
  • L’impuissance du poète face à la fuite du temps.
  1. Forme négative + forme interrogative
  1. « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges – Jeter l’ancre un seul jour ? » (v.5-6)
  2. « N’en pourrons-nous au moins fixer la trace ? » (v.43)
  • Exprime la l’impuissance du poète, qui ne peut arrêter le temps.

C.B : L’homme est prisonnier du temps qui inexorablement entraine dans l’oubli les meilleurs moments passés.

  1. Le mouvement irrésistible et cruel du temps.
  1. Antithèse
  1. « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (v.45)
  • Démontre le caractère cruel du temps
  1. Champ lexical de la perte et du mouvement inéluctable du temps
  1. « Emportés » (v.4)
  2. « Dévorent » (v.29)
  3. « Oubliez » (v.30)
  4. « Fuit » (v.32)
  5. « Dissiper » (v.34)
  • L’aspect irrésistible du temps.

C.C : Le temps est irrésistible et détruit tous les souvenirs

C.I : Après avoir apostrophé le temps, le poète exprime son désespoir devant le temps, qui ne peut arrêter.

  1. LE POÈTE SE TOURNE VERS LA NATURE, AFIN DE CONSERVER LE SOUVENIR DE SES JOURS HEUREUX
  1. Lamartine s’adresse à la nature.
  1. Énonciation de pronoms personnels à la 2e pers.
  1. « Tu la vis s’asseoir » (v.10)
  2. « Tu mugissais » (v.11)
  3. « Tu te brisais » (v.12)
  4. « Tes ondes » (v.13)
  • La nature et le lac sont les destinataires de Lamartine.
  1. Forme exclamative !
  1. « Ô lac ! » (v.7)
  2. « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! » (v.51)
  3. « Belle nature » (v.53)
  • Le poète s’adresse à tous les éléments de l’environnement du lac

C.A : Lamartine se tourne vers la nature afin d’oublier les effets dévastateurs que le temps a sur lui.

  1. La nature est d’une force immortelle.
  1. Vaste champ lexical de la nature tout au long du poème qui exprime l’aspect permanant de la nature.
  1. « Rivage » (v.3-20)
  2. « L’océan » (v.37)
  3. « Lac » (v.7-51-56)
  4. « Rocs sauvages » (v.57)
  5. « Eaux » (v.58)
  6. « Zéphyr » (v.59)
  7. « Surface » (v.61)
  • Permet de comprendre que le poète sollicite tous les aspects de la nature.
  1. Champ lexical de la durée.
  1. « Souvenir » (v.54)
  2. « Fixer » (v.43)
  3. « Trace » (v.43)
  4. « Épargne » (v.52)
  • Le rôle conservateur de la nature.

C.B : Rappelle que la nature est une réalité permanente

  1. Le poète souhaite que la nature soit un dépositoire de ses souvenirs.
  1. Champ lexical de l’amour
  1. « Chéris » (v.8)
  2. « Adorés » (v.14)
  3. « Harmonieux » (v.18)
  4. « Chère » (v.21)
  5. « Les plus beaux de nos jours » (v.26)
  • Souvenir de moments de bonheur passés en amoureux
  1. Verbes au passé
  1. « Devait » (v.8)
  2. « Brisais » (v.12)
  3. « Jetait » (v.13)
  4. « Ont aimé » (v.66)
  •  Rappelle un passé heureux sur le Lac

C.C : La nature, dans sa permanence est témoin des souvenirs du poète.

C.II : Le poète croit en la permanence de la nature afin de conserver ses précieux souvenirs amoureux.

CONCLUSION

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