Les fleurs du mal

si le héros est tragedie souvent confronté roman semble contre lequel il lutte en vain, le personnage. du roman semble a priori moins entravé. La Princesse de Clèves nous offre pourtant le cas d’un personnage soit maîtresse de son destin ? Cette question interroge les relations que le personnage entretient avec le milieu dans lequel il est plongé. Nous commencerons donc par voir l'évolution du personnage vers une autonomie et prise de décision accrue. Il sera cependant nécessaire, pour finir, de souligner que le personnage peut ne pas être maîtresse de son destin.

I ] L'évolution des personnages vers une autonomie de décision accrue.

Une lutte contre les dangers des passions

Lutte permanente

Toute l’intrigue du roman repose sur sa décision d’accepter l’amour de M. de Nemour

Le renoncement: un choix à l'encontre des mœurs de son temps.

le repos et la solitude

La décision essentielle, celle de fin, de se retirer du monde.

Une héroïne ambiguë: La complexité de la psychologie humaine

Les Avis sur son renoncement (pression lourde)

les remords et son influence

II ]

La princesse de cleves est une femme soumis a sa condition du XVI eme siecle. Tout d’abord, mademoiselle de Chartres ne choisit pas son mari, Il lui est imposé par sa mère, par les circonstances qui font que seul le prince de clèves la demande en Mariage, par l’obligation pour une jeune fille de seize ans de se marier rapidement. On ne sait pas du tout ce qu’elle pense de toutes les intrigues autour de son mariage (héroïne muette au début du roman) , et les réponses à sa mère selon laquelle le prince lui cause moins de répugnance qu’un autre suffit à la marier. Mariée sans même savoir ce qu’est l’amour (par ailleurs le mariage d’amour est un concept du XXè siècle). Pratique des mariages arrangés dans les familles royales, et de l’aristocratie, l’individu est soumis à la logique du clan: La fille du roi doit épouser le roi d’espagne, Monsieur d'amile la petite-fille de Drame de Poitier. Ce sont les parents qui décident qui leurs enfants vont épouser.

La princesse de Clèves n’est réellement maîtresse de son destin. Soumise à une éducation janséniste, sa mère lui inculque une éducation prônant la vertu qui puis être parfois à l'encombre de la passion. La mets en garde contre les dangers de cette dernière. Elle donne à la princesse une peinture très pessimiste de l’amour et des hommes qui conduit à une héroïne programmée par l'éducation qui lui a été donnée. Éduqués de cette