Portrait Marius dans les Misérables

Exposé sur Marius et la politique en conflit

Portrait d’un misérable :

Marius 

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Marius devant la dépouille de son père                        Le grand-père de Marius

Quel misérable êtes-vous ?

Je suis celui qui a perdu son père sur le champ de bataille à Waterloo, je suis celui qui a été élevé par son grand-père et je suis le tout premier des misérables.

Bio express :

- Naît en 1810

- 1815 : détrousseur de cadavre, la mort de la mère de Marius

- 1827: Déménagement rive droite

- 1831: Rencontre de M. Leblanc et de Mme Lanoire

- 6 juin 1832: Prise d’assaut de la barricade

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Portraits:

Portrait physique de Marius :

Je suis un garçon plutôt simple, qui n’essaye pas de se mettre en valeur pour impressionner son entourage, bien que je sois baron de titre. En soirée mondaine, je suis bien sûr vêtu de mes plus grands effets, mais vagabondant dans les rues de Paris, je m'affiche presque comme un mendiant pour me fondre dans la masse de la misère et prendre ainsi conscience du mal régnant depuis le retour de la monarchie. De très grande taille, mais assez chétif, j’ai tout pour moi d’un petit ange de Dieu. Mon visage est finement tracé et d'un teint mate. Une bouche pleine et ronde comme pour demander constamment qu’on m’arrache un doux baiser. De petits yeux sombres, malicieux et perçants, sans oublier une épaisse chevelure châtain foncée, presque noire, qui boucle harmonieusement.

Portrait social de Marius :

Je suis un jeune homme issu d'une famille riche. Je vis chez son grand-père, M.Gillenormand, qui habite rue Servandoni et qui est royaliste. 
J’ai perdu ma mère, et mon père, le colonel de l'armée napoléonienne vaincue à Waterloo est resté Bonapartiste, ce qui explique la séparation avec moi et mon père.

Portraits morale de Marius :

Je me fâche avec mon grand-père, que je quitte pour chercher mon père. Je commence mes études de droit à Paris où je vis seul et pauvre. Je fais aussi la connaissance d'Eponine, la fille Thénardier dont je suis le voisin à la masure Gorbeau ; c'est là que je découvre que Thénardier et Jondrette sont la même personne, le même escroc. J’aide Javert à les faire arrêter. 
Je fais la connaissance d'une jeune fille, Cosette, que je rencontre souvent au jardin du Luxembourg et qui vit avec Jean Valjean rue Plumet.

Le 5 Juin 1832, rue Saint Denis, je dirige la barricade avec les autres étudiants . J’utilise Eponine, amoureuse de moi, pour envoyer des lettres à Cosette et la considère comme une amie, une confidente. Après la barricade, je me réconcilie avec mon grand-père à qui je dis que je vais épouser Cosette, ce que je fais peu de temps après.

Trois questions à Marius :

Quelle sont ces épisodes marquant de votre vie ?

La mort de mon père et l’adoption de son grand-père.

Quel personnage des misérables vous touche le plus ?

C’est Cosette. Parce que je suis tombé amoureux d’elle et que je me suis marié avec elle.

Que serait votre société idéale ?

Ce serait une société où aucune misère n’existerait pas, et où chacun s’entraiderait.

La phrase du roman qui me définit le mieux ?

Il n'avait pas de gîte, pas de pain, pas de feu, pas d'amour mais il était joyeux parce qu'il était libre.

Les républicains :[pic 4]

Au cours du XIXe siècle, la France subit une série de changements politiques, économiques et sociaux.

Depuis la révolution de 1789 jusqu’en 1890 la France  passe par trois républiques, deux monarchies et deux empires.