Question De Corpus - Portraits De Femmes Et Éloge.

es deux portraits sont donc élogieux mais celui de la marquise est plus développé. Des personnages tellement parfais qu’on se demande si ils sont réels.

Nous avons une description d’un autre genre dans Les égarements su cœur et de l’esprit. Crébillon Fils nous dévoile le portrait de Mme de Lursay avec une série d’adjectifs l’à décrivant comme « coquette » l.1, « galante » l.1, « prudente » l.4. Mme de Lursay semble être une femme aimant les hommes et les plaisirs « aventures d’éclats. » l.2 et comme une libertine. L’auteur ne blâme pas l’attitude de Mme Lursay mais considère cette quête égoïste du plaisir comme une nouvelle façon de penser. « …j’étais accoutumé à la respecter… » l.57. Si le portrait de Mme Lursay n’est pas tout à fait élogieux, celui d’Odette de Crécy dans Du côté de chez Swann ne l’est pas du tout. En effet, le portrait qu’en fait l’auteur est plutôt un blâme avec une description péjorative « …répulsion physique… » l.15, « …profil trop accusé,…peau trop fragile,…tirés… » l.18-20. L’adverbe « trop » renforce encore plus un jugement négatif de sa part.

CCL:

L’étude de ce corpus nous permet de souligner que les portraits de femmes développés ne relèvent pas exclusivement de l’éloge. En effet, même si le portrait de la marquise est très élogieux, il ,n’en est rien pour celui d4odette de Crécy car c’est une critique.