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Ravage de Bargavel

Fiche de lecture : Ravage de Bargavel. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  8 Mai 2022  •  Fiche de lecture  •  1 098 Mots (5 Pages)  •  480 Vues

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Introduction :

Le livre que je vais présenter est Ravage parut en 1943 et écris par René Barjavel (1911-1985). J’ai lu le livre dans l’édition Folio datant de 1984.

C’est un roman de de sciences fiction, d’anticipation du monde futur, et dans ce livre, d’une catastrophe

Observation :

Caractéristiques :

Ce livre est plutôt court avec un seul texte mais pas facile à lire c’est un roman de science-fiction, un roman sur un thème lié aux sciences, qui se passe dans une époque future.

L’histoire :

L’histoire commence pendant l’année 1953, plus de 100 ans dans l’avenir au moment de sa parution. L’histoire suit un groupe de personnage qui vas traverser la France après « l’apocalypse », dont les principaux personnages sont :

François Deschamps, le principal protagoniste de l’histoire, c’est un étudiant et a 22 ans au début de l’histoire ;

Blanche Rouget, la compagne de François, chanteuse et danseuse pour Radio-300, une grande compagnie de radiodiffusion. Elle a 17 ans

Les premiers compagnons de François, Narcisse, George, Teste, Martin et Pierre ;

Puis le Docteur Fauque, qui est le médecin du groupe,

Collette, la fille du docteur Fauque

Puis les personnages qui ne font pas partie du groupe :

Jérôme Seita, le directeur de Radio-300

Et Paul, le mari de la fille de François et descendant de Narcisse

Résumé :

Un jour pendant l’année 2053, ce produit une catastrophe : l’électricité disparait. L’humain se rends alors compte de sa dépendance aux machines. Les voitures, appareils domestiques, portes électriques, tous les appareils électroniques s’arrêtent, dont les frigidaires. Les habitants de Paris sont affamés. La loi de la jungle, celle du plus fort, s’installe. François, habitué à la vie en campagne, s’organise très vite pour survivre et réuni des compagnons de confiance autour de lui. Il représente la valeur humaine du monde rurale face au déclin des de la riche population urbaine. Jérôme Seita, lui, perds tout : son argent n’a plus aucune valeur, la notion de pouvoir par l’argent a disparue, ses domestiques et serviteurs le quittent et il finit par mourir. François, avec des compagnons de confiance, vas fuir la ville car les voitures prennent feu et les flammes ravagent les rues. François et son groupe, après un long périple où ils ont croisé de nombreux obstacles (Incendie, tempête, sécheresse) et subit de nombreuses tortures (faim, maladies, soif…) ils ont atteint la campagne et sont « repartis de zéro ». François a fondé une société quasi féodale où le plus fort est respecté et où la polygamie est encouragée, car il reste beaucoup plus de femmes que d’hommes après la catastrophe. A la fin de l’histoire, pendant une cérémonie qui a présenté le successeur de François, un jeune homme arrive avec une machine qui aiderait les humains dans leur tâche. François devint alors fou en voyant cette machine et tenta de tuer son créateur, qui le tua en l légitime défense puis fut à son tour tué par les proches de François.

L’écriture :

La narration passe de la troisième à la première personne, mais reste principalement à la troisième personne. Le livre est plutôt narratif.

L’extrait que j’ai choisi :

Dans cet extrait, Jérôme Seita, un Bourgois extrêmement riche, tente de fuir sa tour et achète un cheval à son jardinier. Seulement, l’argent n’a plus aucune importance, mais cela, Seilta ne m’a pas compris, ce qui provoque sa mort.

Seita se précipita devant le cheval. La vue de ce véhicule, qui lui permettrait peut-être de fuir vers des lieux plus hospitaliers, lui avait rendu un peu d’énergie. Le jardinier, un homme d’une cinquantaine d’années, à grosse moustache grise, tira sur les guides, arrêta sa bête, et demanda d’une voix rude : — Qu’est-ce que vous voulez ?— Monsieur, nous avons avec nous, comme vous le voyez, une jeune fille malade. Ayez la gentillesse de la conduire jusque chez mon ami, à Montparnasse, sur votre voiture... — J’ai pas le temps ! Vous savez donc pas ce qui se passe ? Que rien marche plus dans cette ville ! Moi je m’en vais. Allez, faites-moi place ! Débrouillez-vous. Seita sourit. Il pensait à la toute-puissance qu’il portait sur lui, à laquelle rien ni personne n’avait jamais résisté. Il s’accrocha d’une main à la bride du cheval et, de l’autre, fouilla dans une de ses poches. Il en sortit une poignée de billets de banque. — Tenez, reprit-il, je vous donne ça. Cinq mille francs pour un petit détour. C’est tout de même bien payé ! — Je me moque de votre argent ! — Je vous achète votre cheval. Le prix que vous voudrez ! Cinquante mille, cent mille, deux cents, cinq cents... À chaque chiffre, le gardien faisait « non » de la tête. Seita, étonné de ce refus, s’obstinait, offrait toujours davantage. À la fin, l’homme n’y tint plus, et se leva furieux. — Mon cheval vaut plus que tous vos billets. Allez, laissez-moi ! Comme Seita s’accrochait toujours, le gardien se pencha en avant et, à toute volée, le frappa à la tête du manche de son fouet. Seita s’écroula. Le cheval et le véhicule lui passèrent sur le corps

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